Révisions de la page | Historique de transcription | Annales des Mines (1850, série 4, volume 18)

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Par mètre culezt,

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D'arprèg 'Ces- nombres, les fris spéciau;q13pportés par le minerai amené à l' ine de,poptgi_bamd., aux fontfetWgïillage, I 27,63

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jusqu'à la fin de 1849. Ma intenant ce chemin est ter7

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Les frais d'exploitation se sont donc élevés en général à un peu plus du tiers de la valeur contenue dans le minerai. Jusqu'à la fin de 1849, les minerais provenant de la laverie de Rosier ont été transportés à l'usine par leschemins de traverse, toujours très-mauvais

et souvent impraticables, qui vont rejoindre la grande route de Rochefort à 3 kilomètres de Pontgibaud. Les transports faits par les paysans, dans leurs charrettes attelées de boeufs, ont coûté plus de of,6o par quintal. Depuis longtemps on avait l'intention de construire un chemin plus direct, allant de la laver;e à la grande route. Les

êik'sultant-par le- nombre de quintaux

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De-késte-ilirilelatit Pïs,.:C4isl&er .senlemet4 zuû l'économie numérique, mais encore l'avantage d'avoir un chemin praticable et commode en toel,',1 5 tes saimèni. Ce chemin à pb.rniis en outre, par un fossé lateyak,d,e, conduire les eauxcle la laveriffii directement4 jà Sjoule; et par_ conse'quent il, est ,g'ikl possible maintenant de supprimer les bassins' de dépôt, et d'éviter les discussions avec les proleap'vel

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tairesimisins au sujet des eaux bourbeuses.

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