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L 4 baryte sulfatée s'est égalgmenpubstituee à la matière première du test de plusieurs coquilles, ce qui exclut, à mon avis, l'idée même d'origine eb snaîtrWril ignée. 9 ,Ui;111 ild
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Toutes ces substances sont donc arrii,vées au jour sons forme de9sources minérales, et il me paraît
évident queLle fer et le manganèse, comme la chaux et la magnésie, ont dii:,être unis dans ces sources, aussi bien que ile..zmanganèseA,es Pyré-
nées, à tin excès d'acide carbonique. Çe qui semble en effet le prouver, c'est que le calcaire magnésien, qui supporte les argiles à jaspes, renferme
dans toutes ses parties une proportion pus ou moins forte de carbonates de mangese et de fer. Cette circonstance se reproduit aussi ailleurs. Ainsi le calciiire grenu de Drège (4,49)qni renferme des nids de galène ,et:que,M4,Du frénk, dé-
erit comme calcaire dolomitique (t)), resseinble bien, à la vérité, à un calcaire magnésien , mais Contient, au lieu de magnésie , du manganèse,.;Une
analyse faite par M. Rivot a donné les ré,Sidets suivants . Chaux. Oxyde de fer. Oxyde tic manganèse. Sable quartzeux. . . . . Eau et acide carboniMie .
0,4o 0,15 o,o3 o,o2 o,(to Yer';-diffêielibe.) étui] 1,00
(1) Explication de la carte géologique, t. I, p. M. Dufrénoy classe ce calcaire dans le trias; mais en réalité &est le calcaire terrain ordinaire à bélemnitéS"tlû signe On y voit des bélernnites évidées dont'reéole'seute subsiste encore., On ne voit pas ici comme IàSanxaiï des
cristaux de quartz.
NÉES. DES MINERALSonDLM:GTA:ÈTSE DES PYRÉNÉES.
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Çe calcaire ne renrerme pUltifie trace de nia--
gee>le. Le ferilëts1146-Mairganèà!Sbut .eii. partie à
- 3kiell partie à-Téitmir
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La fréquence de Une autre circonstance qui paraît dévoiler,le Phalloysile semmarboufve lors du ble aussi m'Inini rôle très-important de l'acide l'existence dépôt du terrain du Non-tronaic'est la.fliéquence nombreuses de d'acide de fhalloysiteÉlét:ien:généralxles silicates d'al»; soorce car borique. ihydratége,qui non-seulement mine pla-Sf'on constituelepresque exclusivement les argiles à jaspes, mai's encore servent de ciment aux grès et poudingues du même -terrain , et accompagnent tônjours' les minerais de- manganèse et de fer de
Ces contrées.
"On sait-par les travaux de MM. Ebeimen et
Fouet, que les argiles ou silicates d'alumine fdéStiltent de la décomposition lente des eidates multiples des terrains anciens ou et gué Cette décomposition doit surtout être_atkibuée W`facide carbonique et à l'oxygène de 4,4..
Mais loi'sque dès sources de bicarbonates ou d'acide
carbonique traversent ces mêmes terrains , lenr efret'doit être semblable et même beaucoup plus énergique. C'est ainsi qu'il a dû se produire des hydrosilicates d'alumine partout où des sources de bicarbonate de fer, de manganèse, de magnésie, etc., se sont échappées des terrains anciens
4est précisément là ce qui est arrivé, selon moi,
dans le Nontronais et sur toute la lisière des terrains anciens du plateau central. Les kaolins eux-mêmes furent peut-être formés sous l'influence de sources semblables, et le calcaire blanc saccharoïde que l'on a trouvé dans les carMères de terre à porcelaine du clos de Bar (Saint-Yrieix), ne semble-t-il pas aussi annoncer