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dont lediamètre,,très-yariable , dépasse rarement pied. Dans les mines, irSe prodùit,des exhalaisons bitumineuses tout à-fait analogues à celles qu'on remarque dans quelques parties de la mine de Vieliczka. Il est bien vraisemblable, d'après cela, que le gypse de ,,)rokocim répond à la cou-
che supérieure du déOt de sel gemme de Vieliczka.
Plus loin, à Gdow, à l'Est de Vieliczka , la
formation tertiaire est recouverte par le terrain plus moderne, o-ù dominent les argiles contenant les ossements de Mamouth et les sables d'alluvion;
dans quelques endroits seulement se montrent des terrains plus anciens, comme le dépôt de sel gemme à Bochnia , ainsi que les argiles et les sables en couches alternatives à Mate Kosryczki, près de Tarnvôw. Plus loin encore, cette formation commence h se montrer sur une échelle plus grande et se pro-longe d'un côté vers le Nord dans le royaume de Pologne, où elles occupent des étendues considérables près de Pinczôw Korytnica, tandis qu'au Sud, vers Léopol, elle communique avec les dépôts tertiaires qui couvrent une grande partie de la Volhynie et de la Podolie, en se prolongeant même vers les limites de la mer Noire. Le gisement du soufre de Szwoszowice se trouve
intercalé entre les terrains tertiaires et forme leur point de jonction, quoiqu'il s'en distingue par les caractères minéralogiques. Il se compose principalement de marnes argileuses grises, au milieu desquelles se montrent les petites couches de soufre natif et de gypse. Comme les terrains tertiaires ne contiennent pas de soufre ni de ces marnes ,
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Présence deé* b substances initierales doit
attribuée à deeareonstanegteales.
Les puits exécutés jusqu'à présent permettent de calculer l'épaisseur totale des couches de Mar-, nes et de soufre jusqu'à 243 pieds viennois. Elles
s'appuient d'iin côté surie calcaire Corallien de Kurdwanôw, aveClequer elles' n'ont aucun autre rapport que celui de simple contact. Ces marnes, sous l'intkience des agents atmosphériques, produisent un sol fertile, ce qui empêche de les reconnaître à,la surface; mais il faut examiner ce terraiWdans les ravins provenant de l'action r& cente des eaux. Elles prédominent et forment *des masses puissantes sans être ni schisteuses ni stratifiées; ordinairement elles sont un peu molles et elles durcissent à mesure qu'augmente la quantité du carbonate de chaux. Déjà, par la couleur seule, on peut déterminer cette différence, les variétés argileuses étant d'une couleur gris bleuâtre, tandis que celles où l'élément calcaire prédomine présentent des nuances plus claires.
- Produites par un dépôt lentement accru , ces
Marnes contiennent, à des intervalles presque égaux de 12 pieds, cinq couches de soufre natif; sur les deux supérieures s'exécutent it présent les travaux d'exploitation, et c'est de là que viennent tous nos renseignements relatifs à ce gisement. Le sondage exécuté dans le puits nommé Ferro a fait connaître l'existence de trois autres couches inférieures. La couche supérieure de soufre fie forme point une masse continue, mais seulema
des petits grains de soufre de la grosseur d'un grain de chanvre, qui sont principalement disséminés dans la marne gris clair; ces grains se TorneXYlif. 1850.
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