Annales des Mines (1850, série 4, volume 18) [Image 116]

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DESCRIPTION DES MINES

constamment les.sables avec iine pelleygfetelire ceux qui sont assez gros et assez lourdsli.eurfinel pas être entraînés par l'eau dans ce mouvemetit. Les sables fins et les schlamms sont entraînés par l'eau dans le labyrinthe et dans les bassins. Dans le labyrinthe se déposent, à des distances différentes de la caisse de débourbage i° Des sables fins ; ° Des schlamms fins n° i et n° 2.

Dans les bassins intérieurs à l'atelier se déposent des schlamms très-fins n° 3 et n° 4. Toutes ces matières sont soumises à des lavages. 'Dans les bassins extérieurs ou bassins de dépôt,

on recueille des boues considérées comme stériles. Les eaux, éclaircies par le dépôt CI), sont conduites dans la vallée. L'atelier de lavage des sables et des schlamms Lavagedessables et des sehlamrns. est à côté de l'atelier de triage, et seulement à 2 mètres en contre-bas. Il renferme trois cribles, denx caissons allemands et six tables jumelles.. Sables.

Les gros sables débourbés (enlevés à la pelle) sont traités sur deux cribles manoeuvrés à bras .par des femmes. Le lavage donne quatre produits

I° Du schlich riche ou pyriteux; 2° Du minerai de bocard; 3° Du stérile; (1) Ors a fait plusieurs fois sur les eaux bourbeuses une expérience assez curieuse. En ajreant aux eaux troubles

une petite quantité de sulfate de fer, on les rend claires prak' immédiatement. Nous constatons le fait sans chercher' â l'expliquer:

ET IJSINES . DE PONTG.IBAUD.

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.teDéS paadères.:fines qui ,traversent les grilles,

ntnéeslonds de cribles. Jijeischlichi est envoyéfàTusine relavé. -iik,eMinerai de bocard est descendu par une glisr!i sière ait bocard d'en bas.

-L6kérile est jeté, après inspection du maître laveur, qui en: fait d'essai dans un petit tamis, quand la matière n'est pas suffisamment stérile, les femmes doivent la repasser en entier et gratuitement sur les cribles.

Les fonds de cribles sont repdrtés au débourbage.

Le schlich riche donné par les cribles, est souvent très-chargé de pyrite de fer ; cela se présente toujours avec le minerai du filon Saint-Georges. Illaut alors le relaver sur les caissons allemands, et même ensuite sur un petit crible. Le lavage aux caissons donne deux produits : Schlich riche; 20 Matières fines et assez pauvres. Le schlich est envoyé à l'usine, ou lavé de nouveau sur un crible quand il est encore pyriteux. Les matières fines et pauvres sont portées à la

esEclo;

caisse de débourbage des sables. Les sables fins déposés en tête du labyrinthe;

Sables fins.

sont lavés sur deux tables jumelles portant les

I et 2. Le lavage, fait par des femmes donne trois

ric'S

produits : Schlich assez riche;

2° Des sables pauvres à relaver sur les mêmes 'fables 3° Des sables stériles. Le schliCh est ordinairement lavé de nouveau SUE' un crible avant d'être envoyé à l'usine.