Cette page est protégée. Merci de vous identifier avant de transcrire ou de vous créer préalablement un identifiant.
320
s ".. teITMa a
dan'9 fi er etWi iliiPe9A'e L7Oxyde
Ui
et
DES VOSGES.
.
chrôme paret
C'ealitagVarHgb
ne pro p
ti on plus grmie q,te
dans le dideele 1 Eupholide d'Odern,p,
.,-la
pré-sCtice du chrome était évidente dans la variété qui a une belle Couleur vert émeraude , mais il est
remarquable. qu'il y en ait aussi dans la variété verre'qeet 'dèleaucoup la plus abondante : dans ceectelig3V-afiétés la quantité de chrôme est diffé-
redek fif est probale de phis que l'état d'oxydatiodegepas non pl us le même; le chrtime est sans dotitéekàtde sesquioxycleda'ns la variétéémeraude et à l'état de pro toxyde dans la variété verte. J'ai reee"idDeheehé 's'il y avait du vanadiumlui a été indiqué dans ic diallage , mais je n'en ai pas trouyé ,Je pas'ilfS4 l'alumine, car il est évident:d aprèsl'analye ,
pouva i t y en avoir qu'une très-petite quan-
a été pesée avec l'oxyde de fer. La perte au feu qui est celle qu'on a habituellement clans le diallage consiste presque entièreta,
ment en eau , car j'ai constaté qu'il n'y a pas de carbonate de chaux pur et qu'avec les acides il se produit à peine une effervescence; du reste, l'anair lyse montre que le minérall renferme très-peu de chaux, peu d'oxyde de fer et au contraire beaucoup de tbagnésie. Par sa composition chimique ce diallage se rap-
proche beaucoup de celui d'Ultentbal (Tyrol.) analysé par Kohler, ainsi que de celui de Gulsen (Styrie)'analysé par M. Régnault (2), et il pourrait être,representé par la fon-mile i (ft); quoiqu'il n'y .ait pas l'éclat bronzé, il appartient donc à la (a) Annales des mines, 4. série, t. XVI, p. 551. (2) Rammelsberg : Handivorterbuch Augit, p. 62, et Annales des mines, 5e série, t. XIV, p. 149.
321
Va Itrêted0 .cli a lia e qu'on désigne sous le nom de brbWiii4P) qui est essentiellement à base de magnéSi'e,rqu'i'ne contient pas ou presque pas de chaux et dans lacpitlle la teneur en silice est toujours éle-
vée; dans là serpentine des Vosges il est en outre chrOrnifère.
La 'serpentine étant la roche la plus riche en
magnésie , on conçoit d'ailleurs facilement que le diallage qui s'y est développé soit lui-même riche en magnésie, ou, ce qui revient au même, que ce soit un dalliage bronzite; ce diallage s'observe en effet surtout dans les serpentines. La Serpentine des Vosges renferme une chlorite dont le mode de gisement est très-remarquable ; elle s'est développée dans des petits filons et dans l'intérieur des nodules de grenats, principalement de ceux qui sont coupés par ces filons ou qui en
sont peu éloignés (voir fig. n, P1. vH. Annales des mines ,
série, t.
Lorsqu'on examine le grenat de la serpentine, on reconnait en effet qu'a sa circonférence il est très-souvent entouré par une petite couronne de chlorite ; c'est ce qu'on peut surtout très-bien observer dans les échantillons polis : quelquefois au contraire la chlorite a commencé à se former dans l'intérieur du grenat et même à son centre. Enfin , dans certaines serpentines on trouve comme le montre la fig. !I, des nodules qui sont formés tantôt de grenat, tantôt de grenat et de (1) On peutTemarquer it l'occasion de ce nom de bronzite
que j'ai dû conserver it un minéral qui n'a pas l'éclat bronzé, combien il est préférable de désigner les minéraux par des-noms sans signification plutôt que par des noms rappelant une de leurs propriétés, car cette propriété peut disparaître dans certaines variétés, et il en résulte des anomalies; on pourrait en»iter un grand nombre en minéralogie.
Chlorite.