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DES MINERAISY-DALAMINAIRES.
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QrgiMiCIO*ef401MO,Jtiku
elttrisu I fure.calcique et
hydrique; quise décompose àYseirri* déposant du soufre. Les sources sulfurées, si _nombreuses encore dansie voisinage
des 'gîtes irréguliers (Aix-la-Chapelle , etc:), déposeraient done-aujourd'hui:de la blende, de la galène edn soufre, comme non' s en trouvons avec les minerais calaminaires,- si les émanations métallifères. n'avaient pas depuis longtemps cessé dans la contrée.
Lprésence du soufre et surtout de-là-pyrite .îrio 911,3e6s, ês,it ,Vse:57;,ii,Si: généralement répandue dans tous !ces .
ttmilifft êtg
gîtes, démontre
n'iont jamais subi une tem-
..amdzaireelzD pérature -élevée; Car, - loin d'avoir pu former du
sulfure- ferrique Fe S', la chaleur l'aurait trans.formé, s'ilieût existé, en sulfure ferreux (Fe Sou VeiSs),et en soufreisublimé. Ceux qui ont imaginé ierusion par voix 'ignée des hydrates et des sulmétalliques dans les filons, ont eu , nous' le sevons , la précaution d'appeler à !ker.- secours une haute pression pour maantenir en combinai-
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son l'eau et le soufre qui tendaient à leur échapper, Mais nous répondrons, sans aborder ici la question des filons, si bien élucidée aujourd'hui par 111,£lio, de Beaumont, que la position super-
plupart des sulfures métalliques et des gît eséalarninaires ne permet pas d'admettre
ici une pareille: hypothèse. La forrnation des sulfures métalliques par voie hurnideeend au contraire parfaitement compte .de JeAr disposition en concrétions zo-
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flaires ou stalactiforrnes au mitieedeargites noires, et dans les fentes 710fl corredétedettoûte espèce de roches, même durcaltairede Le mêmes sourceeitnétallifèressui ionvdéndsé, des sulfures en filons- dans les feriteslinférieureàe ont dû continuer de les apporter au milietrdes-calg caires où se formaient les calarnines:;., C'est ce qui. explique le mélange si fréquent deSsulfurès et des oxydes (Pl. x-Ir, fig. 6, 7, Set ), c'est:enfin ce qui doit faire con si dérer les gîtes irrégulierseornme les parties hypertrophiées des filonsordinaires.1
,-3..Les minerais carbonatés étant le produit, par Les calcaires ont double.:.décomposition , de l'érosion soit du cal- lerniPeirtéai, caire (r), soit de la dolomie par des sources métalli+ ealaminaireS. fêles, il est tout simple que ces roches soient uséesi creusées et en même temps remplies de précipita métalliques, se succédantpar ordre d'affinité élecI tro-chimique. Voilà - Pourcniolimueittiotivimis à Diepenlinchen' (fig. 9 etqfele,plombica'rbotiaté; en massesquelquefois énormes ,. la partie inf& rieure des ,g1tes, et le zinc carbonaté par-desstis le fer, malgré son rang électro-chimique;ne vient n'après. Cela s'explique-par la difficulté que ri-611's
avons éprouvée à le précipiter à l'état de carclitp-, nate ferreux. Les sources s'en dépouillaient defe difficilement tant qu'elles circulaient danslintéL rieur du calcaire ; mais aussitôt qu'elles- venaient s'épancher à la surface du sol ,elles porivaiqrirdidÉs,
avec le secours de l'air, oxyder et déposeri Wh!, comme nous le voyons, à l'état de limOnitegt sous la forme dite fond de bateau (M. 7 euh dy. _
du lessivage d'un sol gypseux et à Saint-Amand, de la
réaction -du calcaire sur le sulfate ferrique des pyrites altérées.
o-neri,22.91
(1) Car la dolomie n'est pas,,comme oneandieein7dispensable à la formation de la calamine.
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