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DE LA CONSTRUCTION DES LOCOMOTIVES
g, corps de pompe. 1, soupapes d'aspiration. u, u', soupape de refoulement. y, réservoir muni 1° d'un clapet de purge; 20 d'un robinet p, ser-
vant à injecter de l'eau dans la boîte à fumée pour éteindre les fragments en combustion. y, y, châssis principal de la machine , intérieur aux roues. p, p, p, ressorts indépendants, par l'intermédiaire desquels ce châssis s'appuie sur les trois essieux couplés.
a, 8, longerons , extérieurs aux roues, du train mobile. y, y, y, y, entretoises qui relient entre eux les longerons des deux côtés du train. p', p', ressorts qui supportent. ce train. t, c, appendices rivés sur les côtés de la boîte à feu et par lesquels. la chaudière vient s'appuyer sur l'arrière-train. glissière en acier frottant sur la glissière X' fixée au longeron. Le support t s'appuie (fig. 4) sur la glissière supérieure par l'intermédiaire d'un renflement sphérique logé dans une cavité de même forme , de sorte que les deux glissières ne cessent pas de s'appliquer l'une sur l'autre dans toute leur étendue, lors même que le train mobile épreuve , relativement à la chaudière, des déplacements ayant des deux côtés des amplitudes différentes. p., p., plate-forme du mécanicien. Cette plate-forme est supportée; dans quelques-unes des machines
par l'arrière-train ; dans les autres, par le bâtis de la machine. La première disposition est représentée par la fig. 1; la seconde par la fig. 2. Celle-ci rentre, ce qui est d'ailleurs un médiocre avantage, dans les conditions des machines ordinaires , dans lesquelles l'espace affecté au personnel de la machine est prélevé en partie sur celle-ci , en partie sur le tender. g, chasse-pierre avec le support du balai. ressort et crochet d'attelage.
Fig. 4, accouplement des roues de l'arrière train. Sur le dernier essieu fixe a et sur le premier essieu du train mobile a', sont ménagées (fig. 2) des portées alésées; elles reçoivent (fig. 3), par l'intermédiaire
de coussinets, un cadre en fer m, m'. Ce cadre porte les paliers d'un arbre intermédiaire a", sur lequel est calée la roue dentée qui transmet à l'essieu a' un mouvement de rotation égal et de même sens que celui de l'essieu a. Par suite du rapprochement des entretoises m, na', ce
TRÈS-PUISSANTES ET A PETITE VITESSE.
599 Les dents ne sont en prise que lorsque l'arbre intermédiaire a" est, comme l'indique la fig. 3, à fond de course vers la droite ; il suffit, pour débrayer, de le ramener à fond de course du côté opposé , en le faisant glisser longitudinalement sur ses paliers. y, v, prolongements des essieux a', ce", de l'arrière-train. Ces appendices sont destinés à recevoir des bielles d'accouplement, qui transmettent au second essieu le mouvement de rotation imprimé au premier par l'appareil à engrenage. Fie. 5, suspensions à balanciers. B. Les balanciers pourraient être remplacés par des ressorts, et réciproquement.
PLANcine Fie. I à 3. Conditions du parcours LIBRE, en courbe, d'un véhicule supporté par des essieux solidaires avec le chdssis , et par un train articulé. FIG. 4. Suspension de machines sur ressorts Baillis. Cette figure représente deux modes de suspension l'un à un seul étage de ressorts supérieurs au longeron, l'autre à deux étages inférieurs. r,r,r, ressort. I, tirant. g, guide. b, balancier. On règle la charge des res.orts au moyen des boulons dont les écrous e, e, surmontent les ressorts de l'étage supérieur.
hm 5. Fabrication des essieux coudés. I. Paquet avec le tracé d'un des coudes. 2. Paquet après la mise des recharges latérales p, p.
Fm. G et 7. Frein à vapeur des nouvelles machines du chemin de fer Saxon-Bavarois. t, cylindre à vapeur, suspendu au-dessous de la chaudière, au moyen des entretoises t, t, boulonnées sur les prolongements inférieurs, fermant plaques de garde, des longerons. p, piston , dont la tige est articulée avec les leviers 1 auxquels sont suspendus les patins s, s. Quand la vapeur n'est pas admise dans le cylindre, le poids du piston et des leviers maintient les patins soulevés ; le piston les applique sur
les rails, en s'élevant sous l'action de la vapeur. Le frottement du sabot est transmis à la machine par le tirant g articulé avec le support i, boulonné sur la plaque de garde antérieure. ,
tirant qui transmet la force retardatrice I la machine, quand
cadre ne s'oppose nullement aux variations de positions angulaires des essieux a, a', dont l'angle ne dépasse jamais deux degrés dans les courbes les plus roides. Il a suffi de donner (fig. 3) un léger jeu aux coussinets du second essieu dans leurs paliers.
celle-ci marche en arrière. Cette tringle complète d'ailleurs le système des guides du sabot.
d', d', d', dents en acier, fixées par des boulons aux tourteaux en
e, écrou pourvu d'une collerette extérieure. c, qui s'appuie par l'intermédiaire d'une rondelle métallique sur l'embase du fourreau ni.
fou te.
Fre. 8 et 9. Frein avec arbre à double vis du chemin de fer de Paris à Lyon.