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dépôt. En outre, pour les différents minéraux essayés, les différences observées varient de manière à l'ester visiblement en relation avec la densité des substances correspondantes. Enfin à mesure qu'on descend vers la queue, les différences continuent de décroître jusqu'à devenir négatives, de positives qu'elles étaient d'abord. Pour le quartz, cette différence négative va jusqu'à o",395; elle est égale par conséquent, pour l'extrême queue, à la différence que l'extrême tête présentait en sens con-
traire. Pour la blende, la différence, par rapport au temps normal qui correspond à l'extrême queue, est toujours négative, mais égale seulement à on,i 59, et elle n'est plus que de o,o51 pour la pyrite. Les quatre causes du trouble dont nous avons
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PRÉPARATIONS MÉCANIQUaS.
-PRÉPARATIONS MÉCANIQUES.
nature à dissimuler l'existence de la loi que le tableau IV a permis de mettre en évidence. DEUXIÈME SÉRIE D'EXPÉRIENCES SUR DES SABLES DU CALIBRE N° 7 CUBANT
MOYENNEMENT 3 1/2 MILLIMÈTRES CUBES, C'EST-A-DIRE HUIT FOIS ET DEMIE MOINS QUE LE CALIBRE N° 0 PRÉCÉDEMMENT EXPÉRIMENTÉ.
( Les diamètres moyens ou calibres des deux no= 0 et 7 sont entre eux : 4,36 2,15 , c'est-à-dire 2 : 1. )
TABLEAU 1. - Profondeur de l'eau, 0m,27. Vitesse de 28m,73 à 28.l,(i0 par minute. Galène 256,55b, pyrite 130,277, blende 140,736, quartz 250,644. 111
'à
Poids
s
.
que ceux qui viennent d'être indiqués ; mais il faudrait d'abord que ces causes agissent simultanément, et ensuite que leur influence se fît sentir dans un sens pour la tête du dépôt, et dans le sens contraire pourla queue ; enfin il faudrait que ces variations tout en étant fortuites se trouvassent clans un rapport constant avec la densité des substances.
La coïncidence de tant de circonstances indépendantes est tout à fait inadmissible. Cependant, pour écarter toute incertitude sur ce point, nous attendrons que des données nouvelles viennent confirmer les résultats précédents et montrer que, selon toute vraisemblance, la raison générale des faits exposés ci-dessus doit être attribuée à des chocs qui ont pour effet de précipiter la chute des grains légers en retardant cde des grains lourds. Quoi qu'il en soit, il y a là une anomalie qui était de
PYRITE.
BLENDE.
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e.-.
m.,
des grains.
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signalé
plus haut l'existence seraient certainement capables, en se réunissant, de produire des écarts aussi grands
GALÈNE.
c
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ge a g,
Poids moyen des
E E,
grains.
7 ."L-:
a
milligr. 2
29
3
23
4
g
Poids moyen
°=. E F,
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milligr.
des
grains.
24
17 12
7 8
5
s
l)
»
10 6
9
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Il n
ii
6
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7 (a)
»
n
5
6
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10 12 13 14
ii
»
5
0,045 0,414 0,360 0.130 0,036 0,012 0,002 0,001
s s
19 18 16 17 11
13
8 1/, 7 1/, 7 5
5
(a) Plats.
y
5
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. E,
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c. c EE
des
°"1".
grains.
ô 'Z' c.
g ...,
°°
millier. 0,008 0,217 0,416 0,190 0,095 0,041 0,017 0,009 0,004 0,002 0,001 s
»
8 14 14
9
7 V, 7 1/, 6 6
5 1
4
ii
ii
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A ll,(b) 3 1/,
y
ii
e
2
I
_.,,,
Poids moyen
»
15 16
g
millier.
0,876 0,113 0,009 0,002
21 18 13
QUARTZ.
r---7.--"---,,
0,001 0,033 0,160 0,265 0,230 0,136 0,077 0,047 0,026 0,011 0,006 0,003
0,002 0,001
(b) Plats et longs.
Dans les conditions du tableau ci-dessus, - conditions identiques avec celles du tableau I, sauf le calibre des sables qui est moitié moindre, - les matières li-
vrées au courant se sont répandues sur une longueur près de deux fois aussi grande. Mais cet éparpillement double des matières n'a pas donné lieu à un avantage décidé relativement à leur purification. Il est même à' remarquer que la queue du dépôt de galène a pénétré