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TRAVAUX FAITS
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tables de sulfates de chaux et de magnésie. Dans la région du Tell, le plâtre se présente en nombreux îlots dont l'origine est probablement métamorphique. Mais ces îlots sont généralement très-restreints; aussi les eaux qui traversent les terrains secondaires de cette région contiennent ordinairement peu de
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dans les terrains secondaires. On comprend que les eaux qui les traversent puissent se charger de quantités assez no-
sulfates.
Les eaux 1_, nu'h1 15, 16, 17 peuvent être considérées comme assez convenables pour les usages domestiques. Un barrage, établi en amont de Laghouat, détourne les eaux de l'Oued-Mzi et les amène dans les jardins de palmiers de cet oasis. Le canal traverse la ville et tous les habitants vont y puiser l'eau nécessaire à leurs besoins. La composition de cette eau est indiquée par l'anaiyse n° Elle diffère à peine de l'eau n. 17 prise dans l'Oued-Mai luimême. On y trouve de plus un peu de silice gélatineuse et des traces de phosphates. L'Oued-Djelfa prend le nom de Oued-Malah auprès du ro-
cher de sel. L'analyse n° 10 fait connaître la composition de cette eau à 500 mètres en amont du rocher de sel. On voit que l'eau s'est chargée dans son parcours d'une quantité de matières salines qui est environ le double de ce qu'on trouve à Djelfa. Cela vient de ce que l'Oued-Djelfa a traversé les terrains quaternaire et tertiaire avant de passer auprès du rocher de sel.
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Ces derniers terrains renferment des couches de plâtre qui présentent un développement très-considérable. Ainsi l'OuedMzi traverse, auprès de Laghouat, une chaîne de montagnes formée par les Djebels-Zebecha, Dakla, Rous-el-Oïoun et Mouçlloua, où se trouve un puissant dépôt de gypse régulièrement stratifié, ayant /10 kil. de long sur 8 kil. de largeur moyenne. Les dépôts de ce genre sont assez nombreux au sud du Tell
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AU LABORATOIRE D'ALGER EN 1856.
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