Statistique géologique et minéralurgique du département de l’Allier par M. C. Boulanger, ingénieur des mines.- Moulins : P.-A. Desrosiers, 1844. 483 p., 21 cm. [Image 324]

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COMBUSTIBLES MINEBAUX .

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des mines de Fins, de Noyant et Souvigny, reprit les travaux de la mine de Noyant, et obtint, à la date du 12 mars 1837, une nouvelle concession renfermant une étendue superficielle de 12 kilomètres carrés trente hectares ( 1,230 hectares ), et limitée de la manière suivante : Au Nord : depuis l'angle extérieur au Nord-Est de l'étang de la forge de Messarges, en suivant la limite de cet étang, jusqu'au chemin de Meiller à la forge, et de là en suivant ce chemin jusqu'à celui de Maltaverne à Souvigny. A l'Ouest : de ladite jonction du chemin de Meiller à la forge de Messarges avec celui de Maltaverne à Souvigny, en suivant ce dernier chemin jusqu'à celui de Meiller, et de cette jonction, par une ligne droite à la Croix Louis. Au Sud : de la croix Louis par une ligne droite à la Pierre-Percée. A l'Est : de la Pierre-Percée en suivant le cours de la rivière de la Queune, jusqu'à l'angle extérieur de l'étang de la forge de Messarges, point de départ. Les travaux, repris en 1836, consistaient en trois puits : le puits Bocca, déjà commencé par la Compagnie Thieffries ; le puits Henry qui, en octobre 1836, avait, à la profondeur de 62 mètres, atteint une veine puissante d'au moins deux mètres d'épaisseur, mais de médiocre qualité ; enfin, le puits St-Martin, dont le fonçage avait été suspendu à 45 mètres . En 1838, le champ d'exploitation du puits Henry, limité de tous côtés par des serrées, était à peu près épuisé : on n'avait pu d'ailleurs placer a houille, dont la qualité était des plus médiocres ; les travaux furent alors dépilés et abandonnés vers le mois de septembre. On ne travaillait plus alors que dans le puits Bocca poussé à la profondeur de 184 mètres . Ce puits avait at-

Concession der 837: ses limites .

Travaux récents.