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EXPÉRIENCES SUR LE MARTEAUPILON, ETC.
D'après ce tableau, la résistance de l'étain serait 1,7 de celle du plomb, tandis que j'ai trouvé qu'elle était environ quatre fois plus grande. Un pareil 'désaccord est facile à expliquer ; les corps soumis à l'expérience par les expérimentateurs anglais étaient chimiquement purs, circonstance qui a été loin d'être réalisée dans notre travail ; de plus, le mode d'expérimentation était différent, MM. Crace-Calvert et Johnson ont opéré par des pressions graduelles, et se sont servis d'un corps conique, tandis que j'ai opéré à
SITUATION COMMERCIALE DES HOUILLÈRES, ETC.
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MÉMOIRE SUR LA SITUATION COMMERCIALE DES nomm.imEs DU NORD ET DU PAS-DE- CALAIS (I). Par M. DE COMMINES DE MARSILLY, ingénieur des Mines.
INTRODUCTION.
l'aide de chocs avec un corps prismatique. Le cône
Le traité de commerce intervenu entre la France et
permet, dans son introduction, aux molécules du corps pénétré un glissement le long de sa surface, glissement qui se fera plus ou moins suivant sa nature. Je crois toutefois la méthode que j'ai employée beaucoup plus avantageuse dans la pratique, et je la soumets aux ingénieurs.
l'Angleterre réduit à of,15 par 100 kil, le droit à l'entrée sur les houilles anglaises. On sait que la loi de 1841, modifiée par le décret du 24 novembre 1845, fixait les droits pour les arrivages par mer à of,5o les ton kil. des Sables-d'Olonne à Dunkerque, et à of,15
de tous autres points ; or c'est dans les ports de Dunkerque, Calais, Boulogne, Dieppe et le Havre qu'arrivent les houilles anglaises qui font concurrence à nos houilles du Nord ; celles-ci se trouvent donc particulièrement atteintes par cette réduction de droits ;
quelle en sera l'influence sur la production de nos mines? la diminuera-t-elle? l'empêchera-t-elle de s'ac-
croître? Amènera-t-elle une baisse sensible sur les (t) ce mémoire contient une discussion de la législation française, en ce qui concerne le mode de délivrance des concessions, la redevance, soit au profit du trésor, soit au profit des propriétaires du sol, etc. Cette digression aurait pu être supprimée sans nuire à l'ensemble du travail ; la commission croit toutefois devoir la conserver, car la discussion est toujours utile. Mais il est bien entendu que la publication de cette partie
du mémoire n'implique point l'adhésion aux doctrines qui y sont exposées.
Par ordre de la commission,