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A FORCE CENTRIFUGE,
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tance des frottements dans les pavillons, et montrent que l'influence des frottements dans la couronne des ailes est au contraire très-sensible lorsque le débit est considérable.
Si l'on compare ces résultats à ceux des expériences, on voit que les compressions réellement obtenues sont
comurtilion dedsuleeltualts
inférieures aux compressions calculées; les rapports desectxdpeérîeenue'.
des quantités P1P, puisées dans les tableaux n° i et n° 5, varient entre 0,940 et 0,754, étant d'autant plus faibles que le volume d'air aspiré est plus grand. La divergence me paraît surtout devoir être attribuée à ce que les ailes n'exercent point dès leur origine leur pleine action sur toute la masse d'air qui afflue des pavillons, le changement de régime qui s'opère dans l'écoulement de cette masse lorsqu'elle passe des buses injectrices aux canaux mobiles ne pouvant pas être absolument instantané pour tous les filets fluides , comme le supposerait le calcul.
Il est intéressant de remarquer que, sauf pour la onzième ligne horizontale, les quantités P,P du dernier tableau sont plus grandes que les compressions théoriquement équivalentes à l'action de la force cen