Annales des Mines (1860, série 5, volume 17) [Image 185]

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K. X

2g (P

K , comme cela devait être.

à-s

K étant ce coefficient que M. Giffard considère comme devant être pris égal à 1,7 ou 2, pour assurer la pénétration complète du jet, eu égard aux résistances passives de toute nature et autres causes de déperdition de force vive qu'éprouve la colonne de liquide lancée dans l'ajutage avant de pénétrer dans la chaudière.

Exemple : Soit une chaudière contenant de la vapeur à une pression de 8 atmosphères, auquel cas on a: o.33o X 8= 82.64ok,

SV,S, X V,

(SV,S,

y)

V20( (P

aurons

alimentaire

S%V,2

(A)

V9sK(P--.)

SxVXS=Sx 600x 3,94=---Sx 2.364 kilog.

la veine

on a nécessairement:

liquide traverse avec la vitesse

sv,D,= SY,2a1 = sviD,

sv,D

(P e)

Vi'81

1

î

ce qui revient à P

l'ajutage égal à 1.000 kil., le rapport maximum du

(log. hyp. -à--- + 1 ,

d'où l'on tire

VF, V2gK (P 7s

en y faisant

Y1=V=600 mètres;

Sl

3,94;

D, =D= h000;

observant d'ailleurs que

e

P

s=KX X

dans le mélange, et le poids spécifique du liquide constituant la veine lancée de l'orifice de la cheminée dans

SVA

a

9g --à-P8l (log. hyp.

s

trée devra être égal au coefficient K.

poids d'eau entraînée au poids de la vapeur dépensée dans l'unité de temps sera donné par l'équation (A),

\itgK (P

v,2D,

de l'orifice de la tuyère à celui de l'en-

La vapeur étant supposée entièrement condensée

s désignant l'aire de l'entrée de l'ajutage que

donc

600 mètres par seconde.

sera

Le rapport

=

X to.330 X 7 3,94

Le poids de vapeur dépensé dans l'unité de temps

D,

équation qui nous donne le poids d'eau introduite dans l'unité de temps ; on a:

=3k,94

Si nous supposons que la vapeur franchisse l'orifice

V=

vient :

io.350k,

de la tuyère sans avoir éprouvé d'expansion, nous

Portant cette valeur de y, dans l'équation (a), il

s

8,, P = P, se réduit

équation qui, lorsqu'on y fait S

et l'on doit avoir v,2

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DU MÉMOIRE DE M. GIFFARD.

EXTRAIT ET DISCUSSION

2g(Pe) P,