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489 chocs, soit tout autrement; si les
TRANAUX EXÉCUTÉS EN BELGIQUE. PROCÉDÉ KIND.
renforcé par trois cercles en fonte ayant la forme d'une équerre ; deux de ces cercles sont rivés avec soin, en haut et en bas, pour former les collets d'assemblage, tandis que le troisième est placé au milieu de la hauteur
du cylindre, pour servir de renfort ; ce dernier n'est rivé que sur quelques points de la circonférence. La fig. 56, pl. III, fait voir la coupe de deux de ces tronçons, qui se trouvent à la partie supérieure du cuvelage. Chaque cylindre est formé pat douze tôles juxtaposées, de th',50 de hauteur sur 1 mètre de largeur dans
le sens du cintre; elles sont réunies les unes aux autres par un double rang de rivets, au moyen de petites lattes verticales, c'est-à-dire sans racoutelage, ce qui permet d'obtenir plus aisément une forme tout à fait ronde, et ce qui rend l'assemblage avec les cercles plus parfait. On a employé vingt-huit tronçons en tôle, répartis en quatre séries ! Ceux dé la série inférieure ont 17 1/2 millimètres d'épaisseur, ceux de la seconde 15, ceux de la troisième 12 1/2, et ceux de la quatrième io millimètres. Les cercles de consolidation de la première et de la seconde séries Ont une section de 68 centimètres quarrés et pèsent chacun 590 kil. ; ceux de la troisième
et de la quatrième séries n'ont que 54 centimètres quatrés ; ils pèsent 46o kil. Certes, les cuvelages en tôle construits comme nous
venons de l'indiquer, présentent une grande résistance à l'écrasement, et si on leur applique la formule, on
trouvera qu'ils sont dans de bonnes conditions. Les pièces en tôle ont, d'ailleurs, l'avantage de la légèreté; car on ne pourrait arriver à couler les pièces de fonte aussi minces qu'elles pourraient l'être théoriquement pour les parties supérieures du revêtement; elles pré-
sentent aussi l'avantage de ne pas être sujettes à la
rupture, soit par des pourrait cercles du renfort venaient à se casser, on aisément les remplacer, sans que le cuvelage manquât serait de rester étanche. Mais l'oxydation de la tôle les cuvepeut-être plus rapide que celle de la fonte ; les autres, et l'épaisseur lages en fer coûtent plus que les river à donner aux tôles pour pouvoir les cintrer et aisément, a des limites que l'on ne peut guère dépasser. Si l'on appliquait la tôle à de grandes profondeurs, il faudrait donc suppléer à cette épaisseur, par un plus grand nombre de cercles de renfort. En résumé, notre cuvelage de Saint-Vaast se composait de kilogr. kilogr.
soit par mètre tt.t6/t 5.227 Id. /d. Id. Id. 7 2 2.83:6 Id. .o55, Id. Id. 7 2.150 Id. 22.575, Id. Id. 7 moyenne par 1t6 tronçons, y compris labolte mètre. . . . 5.2116 224.970, à mousse 18 tronçons en fonte, pesant en fer fonte Id. 7
112.1118 ,
ri:::
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Les pièces accessoires, boulons d'assemblage, torkil.; ches en plomb, etc., etc., pesaient environ 2 1.000
le poids total du cuvelage mis en place, était donc
mètre de hauteur de 245.000 kil. En moyenne, chaque du cuvelage a coûté francs.
Pour les pièces en fonte. en fer et fonte, 1" Id. 2e Id. Id. 5' Id. Id. h' Id. Id. Moyenne générale
t 078
série. Id. .
.
.
Id. .
.
Id.
.
1.520 1.336 1.15o 1.029 1.181
(1)
si (t) Il y aurait 30 p. tao d'économie à réaliser sur ce prix, entièrement en fonte, tel l'on faisait aujourd'hui un cuvelage que le projet en avait été conçu.
Poids
du cuvelage.