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56°
ÉTAT PRÉSENT' DE LA. MÉTALLURGIE DU PER
menée de 2',52 à 0,87, soit une économie de ot,65 sur 2,52 oui de 26 p. 100, économie qui serait réduite à
Les consommations en chai-ben 'Variant du simple au
similaires. Nous trouvons donc ici un chiffre peu diffé-
rent de ceux que l'on à constatés dans les forges du Continent; et ce résultat vient aussi confirmer ce que
depuis o jUsqu'à 4° i» oo de scorie S de forge, les prix de revient de la fonte doivent nécessairement différer beaucoup, dans le Pays de Galles, d'une usine à l'autre, et même d'un haut fourneau à son voisin. Néanmoins des différenees diSparaissent en grande,partie, lorsqu'un se borne aux fontes de qualitéS seMbh.i.bleS; Ainsi le
l'air chaud sont plus ternes et moins tenaces que les fontes à l'air froid.
les COU
sommations
en charbon.
Prix de revient de la fonte &Isis le South-Wales.
double, et les Charges en minerai pouvant teceVoir
ries écossaises. Ajoutons qu'à Pontypool, comme ailleurs, les fontes
Résumé
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environ 20 p. Io° si les produits étaient tout à fait
nous avons dit des effets de l'air chaud dans les fonde-
concernant
EN ANGLETERRE.
En résumé, on Voit, par ce qui précède, que si on consomme, pour les bonnes fontes grises à l'air froid, 2 tonnes à 2t,50 de coke, ou 3 à 4 tonnes de houille
grasse, à 56 où 35 p. 100 de Matières volatiles, les fontes grises ordinaires, à l'air chaud, n'exigent que 0,50 à it,90 de coke, soit 2,50 à 3 tonnes de lorsqu'elle est grasse ; ou 2',7o, lorsqu'elle est maigre, comme dans le district central de Merthyr-Tydvil. Enfin lorsque les foutes de forge, comme celles de Cyfarthfa, sont blanches lamelleuses, on brûle en moyenne à l'air chaud, 2',50, quand on marche au coke, et seu-
lement 2',20 à 2,50, quand on charge une notable proportion de houille crue. Ainsi nous 'revenons aux fontes blanches grenues, que l'on produit, dans le district central, avec ',90 à 2 tonnes de houille demimaigre ; et l'on voit, en définitive, que dans le pays de Galles., selon la nature des minerais, des combustibles et des produits, la consommation peut varier du simple au double (de 2 tonnes à 4 tonnes), ou même de 1',75 à 4 tonnes, si nous y comprenons les hauts fourneaux alimentés à l'anthracite.
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Fenris extrêmes
prix de revient de la fonte pour rails né dépaSsalt nulle d'à prix dheyiblit
part, en juin 1860, époque de notre Voyage, les limites de 2 liv. io su, et 311v. la tonne de 2.4o6 liv., intérêts de Capitatix non compris; le chiffre intérieur s'appliquant aux fontes blanches grehtre et le supérieur aux
fontes blanches lamelleuses. A moins de charger au delà de 25 p. ioo de scories de forge, auquel cas la fonte est de qualité tout à fait inférieure, impropre à être puddlée seule, le coût de la fonte ne peut guère descendre aujourd'hui au-dessous de 2 liv. 10 sh. tonne longweight, soit e liv. G sh. 8 d. la tonne légale, ou 58 francs les 1.000 kil. Les fenteS à eXteS de scories pourraient seules ne coûter que 55 à 56 francs ; mais, nous le répétons, ces fontes ne peuvent servir que pour les rails les plus in fériems (Américains), nt même alors Faut, au moment du puddlage, lès aSsoder avec d'autres, moins chargés d'éléments nuisibles. A la vérité M. Truran cite, pour 1843, un prix de revient de liv. i6 sh. 3d. 6 par tonne de 2.400 11V. (45,04 les Loob mais 00 ajoutant, Comme hpligl'aVOns déjà rappelé
an Sujet de cette épope, qu'alors le taux de la maind'uvre, et par cela même lès itU de la bouille etdes minerais, étai ent exceptionnellement bas (i) Ators,en effet, (1) l'ruran, page 170,