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ttisteiN DE L'ACIEli
AU FOUR A RÉVERBÈRE.
de § Cdttrant§ d'air. Nous M'Ob§ signalé l'heUrette in fleellee de Cette diSpoâitien sut là dittée deSaittelS. Net dente qu'elle ne produise le fliênte effet Stir les Voûtes et les parbis, Il né nous paraît pas à craindre que cette disposition refreidiSse le four de manière â empêcher la fusion de l'acier. Lés parois creuses et les autels à tourant d'eau des fours à, puddler teetnpêcherit OS la fonte d'y entrer en fusion et
fonda, même très-doux' Voici les raisons qui jitstifient cette appréciation. Nous sommes parvenus à fondre, avec cette
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le fer d'y arriver ail blanc soudant. Nos atitels à courant d'air frbrit pas nui à la fusion de l'acier puddlé' Il y aura Setilement, selon toute probabilité un léger acetôissement dans la côrtelittnation du combustible. La durée que flou§ avons assignée à la fusion des aciers, SOUS le n° j de titis ConcluSions, est justifiée par les expériences qtié tibti8 hirOnS faiteS, Toutes lès l'usions d'aciers de lime Mit été complètes en moins de 4 heures. La seconde ftision d'acier puddlé trèS-dOux, là seule qui ait été régulière, s'est effectuée en 6 betires. D'après ces bases, On devrait faire par a4 heures Sil fusions d'acier dur et quatre fusions d'acier très-doux: Mals comme il faut le temps de décrasser lagpillé, d'opéra les thargementS, nous comptorn
seulernent Ste cinq ftiSionS d'acier dur et trois fuSitnis d'acier doux. En bonne marelle et avec dés bottines Mirés,
lé dédraSsage de la grille ne devrait pourtant pas exiger plus de t:1,5d à chaque opération. Ce détrassage et lèVement deS escarbilles prenaient beaucoup trop de temps à Montataire, pal' Sifite des nécessités du setvice de l'usine qui nous forOlérit d'attendre des heures entières les rele-
veurs d'escarbilles. Il est possible et théine probable qu'en emplOyant dés bottines très-ardentes, l'air Chaud ut dus soles chautrééS en dessous par tin tétôtir de flammés, cri pameléooé à abréger
notablement le temps de la fusion ; mais de Sont là des perfectionnements à réSériret pouf l'avenir.
Nouà avons évalué, sous l'art. te de ririS la consommation de hôuille à detix partléé pouf Lille d'acier
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consommation, des aciers de vieilles limes qui n'étaiënt pas très-carburés, la plupart des limes ayalit subi plusieurs retaillages, d'autres étant formées d'acier corroyé, d'autres encore n'étant que du fer trempé au paquet. Dans la fusion du mélange de 5/5 acier puddlé et s/5 vieilles limes, nous avons employé 6 heure et enviren trois partics de combustible, Il en a été de même dans la seconde fusion d'acier puddlé pur, la seule qui ait marché régulièrement. Mais, dans toutes tes fusions, le four aurait pu contenir Soo kil. d'acier, au lieu de Geo et 45e, et la fusion
n'aurait exigé ni plus de temps ni phis de combustible' Nous croyons au contraire qu'elle en exige moins à. pleine charge qu'a demi-charge. En effet., le métal étant meilleur
conducteur de la chaleur que le laitier, plus le mélange chargé sur la sole renferme proportionnellement de métal, et plus rapidement la chaleur se communique à la masse et pénètre jusqu'à la sole. La quantité de chaleur latente absorbée par l'acier pour passer do l'état solide à l'état liquide n'est qu'une très-faible fraction de celle qui eSt développée dans le four, en sorte que l'accroissement dans la quantité de métal à fondre n'a que peu d'influence sur là quantité totale de chaleur consommée. En outre, la couche d'acier liquide sur la sole étant tout d'abord plus épaisse, balgee plus complétement les fragments d'acier les plus ferreuX et les plus réfractaires et les dissout plus vite,. Aussi deit.eti remarquer que nos premières fusions à la charge de 600 se sont accomplies plus promptement quo leS derniéteS, à
la charge de 425 et 45o kil. , résultat que lieus n'attribuons pas seulement à la plus grande fusibilité de l'adier traité en. premier lieu, mais aussi à la quantité de et ati§f, De ces considérations il résulte que notre fôui. à pleine
charge n'aurait pas consommé plus de deux parties de houille pour fondre une partie d'acier puddlé très-réfra&