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ÉTAT PRÉSENT DE LA MÉTALLURGIE DU FER
EN ANGLETERRE.
pour best, b. best, tôles martelées, etc. Enfin, nous traiterons de la partie économique de l'industrie des tôles dans un troisième et dernier chapitre.
d'ordinaire, et on en soude deux pareilles au cinglage. Le prisme ainsi préparé est, de la même chaude, passé par trois ou quatre cannelures rectangulaires d'une cage dégrossisseuse spéciale : on obtient là des plats de 9 à 12 OU 14 pouces de largeur et de a pouce à 1 pouce 1/2 d'épaisseur, généralement propres, donnant relativement peu de bouts de barres au cisaillage qui précède la mise en trousses pour tôles. Ces bouts de barres ou rognures entrent d'ailleurs eux-mêmes d'ans les paquets. L'adjonction d'une troisième cage aux deux de l'équipage dégrossisseur ordinaire pour fer brut est la seule modifi-
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CHAPITRE PREMIER. FABRICATION DES QUATRE PREMIÈRES CLASSES DE TÔLES, QUALITÉS COMMUNES ET ORDINAIRES.
S i". Matières premières : fontes et fers bruts.
Les fontes grises n" 5 à 6, marques ordinaires du Staffordshire, sont la principale matière première de cette fabrication : les variétés truitées ou blanches , parfois même de lits de fusion à scories de forge, étant destinées aux tôles de réservoirs, ponts, etc. ; les le 5 à 4 de minerais houillers fondus au coke, étant réservés pour tôles de chaudières et de construction ou pour tôles minces à emboutir. Quelques forges emploient même des fontes mazées dans ce dernier cas : ce mode de travail est cependant plus particulier à l'Écosse et au Cleveland qu'au Staffordsbire. Dans ces deux premiers districts, on maze, pour tôles de chaudières, les fontes n" a à 4 en floss lamelleux blanc, qu'on traite ultérieurement comme les fontes brutes, mais le plus souvent sans le mélanger à celles-ci.
En tous cas, un puddlage chaud et en scories donne,
cation d'appareils nécessitée par la préparation de ces grands largets de couvertes. On prépare par un procédé tout semblable, particulièrement pour les variétés de tôles les plus minces (lattelas ou
treble ), des plats bruts de 4 à 9 pouces de large, qu'on découpe en bidons de longueur voulue, à étirer directement pour tôles. 2. Modes de paquetage pour les diverses sortes de tilles.
Paquetage pour plaies et pour single.
Pour plates et
pour single, le paquetage est indispensable à cause de leur forte épaisseur. Pour ces deux classes, il se fait, du reste, d'une façon analogue : deux largets de 9, 12 OU 14 pouces, comprenant une hauteur variable de fer brut
avec ces fontes brutes ou mazées , un fer brut qu'on cingle à la presse ou au marteau pour les tôles communes, et généralement au marteau pour les tôles de chaudières : on
ou de bouts de barres , voilà le mode ordinaire pour qualités communes. Aux barres ou bouts de fer brut, on sub-
l'étire sous forme de barres ordinaires pour intérieur de paquets et sous forme de largets pour couvertes. La préparation de ces couvertes en fer brut n'est pas
s'agit de marques un peu meilleures : tôles de chaudières, par exemple. Dans les deux cas, on croise les anises, autant que faire se peut, à l'intérieur des paquets. Dans le Cleveland, on a adopté les principes du paquetage avec couvertures en slabs, pour les tôles comme pour les rails , et on paraît s'en trouver parfaitement , comme soudure, dans l'un comme dans l'autre cas.
spéciale à la tôlerie : nous en avons déjà vu des exemples
dans la fabrication des fers marchands et des rails. Les loupes destinées à faire ces largets sont martelées avec soin ; chacune d'elles est préparée un peu plus forte que
stitue des riblons ou rognures de tôles finies, quand il