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SOURCES THERguEs
petit volant auxiliaire, nous avons pu sans inconvénient réduire la marche de 110 à 8o, soit en moyenne 100 coups par minute. Pour chaque tour de l'arbre coudé à trois manivelles, le volume engendré par les pistons des trois pompes est de o-°,o2289, et le volume d'eau réellement élevé est souvent de omc,o2245 ce qui donne le rapport considérable d'environ 0,98. Ce rapport ne descend pas au-dessous de 0,95 en moyenne. L'arbre coudé à trois manivelles des pompes fait seulement 238 tours pour 1. 000 tours du volant poulie, ou coups
de piston de la machine à vapeur. Celui-ci donnant en moyenne 6. 000 coups par heure le produit en eau élevée est de 52me,o58 pendant le même temps. Dans la journée du
3o juillet 1862, la machine a fonctionné pendant 3',48 et elle a consommé 48 kilog. de houille de Ronchamp, y compris la mise en feu et les temps d'arrêt. Le produit en eau
élevée ne dépasse pas 75 kilogrammetres par seconde, mais il est vrai que la tension de la vapeur n'atteint pas
(
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3° Le sondage n° 8; source militaire n° 3; 4° Enfin, le sondage n° 9 situé sur la place des bains, source militaire n°
Les trois premières sources existaient déjà, lors des expériences de 1859. La quatrième a été créée dans l'automne
de 1859, et l'hiver de 186o. Elle a été forée jusqu'à la fr
profondeur de 35'°,46 (altitude 219m,76), mais tubée en bois, seulement jusqu'à 330,o8, ainsi qu'il a été dit précédemment en traitant des sondages. Toutes ces sources communiquaient avec le puisard au moyen de tuyaux en plomb ou de galeries souterraines dont les radiers, enterrés à environ 3 mètres de profondeur, sont à peu près au niveau de la source n° 2 qui a servi de repère aux épuisements. Les pompes étaient les mêmes qu'en 1859. Pendant les jaugeages, le niveau de l'eau était maintenu
dans le puisard entre 0m, 17 et o,4o au-dessus du radier, près de la source n° 2 (altitudes 252m,o5 et 252,26), mais,
pendant le reste de la journée, il s'élevait beaucoup plus
5 atmosphères dans la chaudière.
haut.
Pendant les jaugeages le niveau de l'eau a varié dans le puisard, savoir le premier jour de 5m,90 à 3m,67 en contre-
Les résultats obtenus se trouvent résumés dans les deux tableaux suivants extraits du procès-verbal de conférence dressé par le commandant du génie, M. Rémond, et par nous, sous la date du 3o novembre 1860.
bas du pavé des bains (altitudes 52m,o1 à 252m,24) et les quatre derniers jours de 4",79 à 4-,56 en contre-bas du même pavé (altitudes 251'0 2 à 251m,55). Les variations étaient beaucoup plus fortes pendant le reste de la journée. Pour l'écoulement des eaux du sondage n° i les variations de niveau ont été sans importance, comme en 1839
'I!
DE BOURDONNE-LES-13./1E1,1S.
(altitude 255m,91). A l'hôpital militaire, les sources qui fournissaient de l'eau étaient, savoir : La source n° i, dite sous les étuves 2° La source n° 2, dite de la cour de la caserne, près du bain sulfureux ;