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118
Sources civiles. DATES
des observalions.
DURÉE TOTALE
DÉDIT CALCULE
des observations.
pour 24 heures (mètres cubes). LI
ô
7!
'1'
Heures.
Minutes. Maximumi Minimum Moyenne.
=7.
à%
1860
Août 28
9
29
16
30
25 25 27
31
Sept.
8
19
12
49
12 13
Si 10
213 319 238 220 235
156 180 183 173 187
Moyennes
183 220 196 199 203
49 49 49 49 48
200
49
199
48 48 48
(a) (b)
Sources militaires. 1860
Août 28
8
9
29 30
10
8 12
9 10
11 13
31
Sept.
t
23 38 39 52 8
217 195 205 198 198
177 171 167 161 166
181 181
Moyennes
Total des moyennes pour les deux établissements.
.
119
DE .BOURRONNELESBAINS.
SOURCES THERMALES
177 183
50
185
43
(c)
(d) (e)
48
385
Pendant cette journée, l'eau était tenue aux mêmes niveaux que dans le puisard militaire. Pendant cette journée et les suivantes, l'eau du puisard civil était mainte nue à des niveaux inférieurs de 0".,99 à ceux du puisard militaire. Préalablement aux expériences, on délivrait chaque jour 380 bains, plus 380 douches, et on approvisionnait l'eau à refroidir pour le lendemain. La niveau do l'eau a oseille de 0'47 à 0'",4o au-dessus du fond du radier de la source n" 3. Il a été tenu à la même hauteur aux sources civiles. Le niveau de l'eau aux sources civiles a été tenu à 0,89 en contre-bas çie. celui des sources utilitaires, pendant cette journée et les suivantes. Préalablement à l'expérience de ce jour, il s'est dégagé abondamment des gaz et un volume d'eau plus grand que de coutume, pendant qu'on approvisionnait l'eau des bains. Voir les expériences du chef du génie, du mois de janvier dernier, constatant que le volume de ces gaz a été jusqu'à SO pour ou de celui de l'eau.
En comparant ces divers résultats avec ceux de l'année 1859, on trouve que le débit moyen des sources militaires avait été augmenté de 66 mètres cubes, tandis que celui des sources civiles avait diminué de 28 mètres cubes ; d'où résulte, pour l'ensemble des sources, une augmentation de 38 mètres cubes par vingt-quatre heures. La température des eaux réunies dans le puisard militaire avait diminué de
6 degrés centigrades. La température des eaux du puisard civil avait augmenté d'environ 9, degrés. L'augmentation du débit des sources militaires et la diminution de celui des sources civiles, ainsi que l'abaissement de la température des eaux du puisard militaire, ne peuvent être attribués qu'au sondage n° 9 exécuté postérieurement militaire, sur aux jaugeages de 185,9, par les soins du génie qui donne issue à une grande quantité la place des bains, e
d'eau minérale, dont la température est beaucoup moins élevée que celle des autres sources, quoique la salure soit la même que celle de tous les sondages. Pendant les expériences, cette température, prise dans le tube du sondage même, était seulement de 55 degrés, à la profondeur de 25 mètres ; elle ne dépassait pas 5o degrés à la sortie du tube.
Les résultats des expériences que nous venons de décrire nous ont toujours paru entachés d'inexactitude, sous le rapport du débit des sources, mais, relativement à cette appréciation, nous n'avons pas pu nous mettre d'accord avec le commandant du génie, M. Rémond. Nous croyons devoir exposer ici sommairement les raisons à l'appui de notre opinion.
Pendant une partie de la durée des expériences exécutées de concert avec le génie militaire, on a réellement extrait du
puisard civil les quantités d'eau dont le détail suit métres cubes.
1860.
104,450 106,732 111,550
Affût, 30 Août, 31
Septembre, 1er. .
Pendant le reste des mêmes jours, mais en dehors des heures d'expériences, on a en outre extrait du même puisard, pour le service balnéaire, les quantités suivantes : moires cubes
186o.
Août
66,000 78,000
3o
Août, 31 Septembre
a
.
.
.
73,45