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PERTURBATIONS PRODUITES
vous pas ;besoin d'ailleurs .de répéter -que si Ton avait à examiner rune machine ,à plusieurs 'cylindres, on .applique, rait séparément ià Chaque cylindre les règles que nous allons donner. La machine que DOUS examinons se 7rMiiit à l'arbre mo-
teur, à la manivelle, à la bielle, au piston et au cylindre. On voit de suite que pendant tout le cours de son mom,ement , 'la ')ielle passe par un Même Oint de Taxe de rotation du cylindre en même temps ridelle glisse parallèlement aux arêtes du cylindre. C'est cette propriété 'bien simple qui va nous servir. En général, dans les machines oscillantes, l'angle d'oscillation du cylindre atteint 3o degrés ; ce maximum a lieu lorsque Ja.bielle est tangente au cercle décrit par la .manivelle. Il enrésulte que le rapport de la manivelle à la bielle est plus élevé que dans les machines ordinaires, du moles engénéral, et _qu'on ne peut trouver 4.1ans la petitesse de ce rapport .un moyen de simplification. La propriété dont nous avons parlé plus haut montreque le centre de gravité de la machine.ne.peut se déplacerque suivant deux directions variables, l'une perpendiculaire à la manivelle, l'autre parallèle à l'axe longitudinal du cylindre. On annulera le premier mouvement, comme toujours, par un contre-poids H placé à l'opposé de la manivelle, mais on aura seulement ici Mmg.
Pour annuler le second mouvement, nous allons faire une construction idéale que nous modifierons ensuite pour la rendre praticable. Nous considérerons en effet un poids qui peut se mouvoir suivant l'axe longitudinal du cylindre, sans tenir 'compte des obstacles matériels. Ce poids doit être tel
que le centre de gravité, .qui lui est commun avec la bielle et le piston, reste toujours'sur l'axe de rotation-du cylindre. Seient K ce poids, i3 sa distance à la manivelle qui doit le
PAR LES PIÈCES MOBILES i DES !MACHINES.
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conduire, y..la :distance ,variable du bouton de cette manidistance variable .du bouton:de velle .à l'axe; de rotation
la manivelle principale au même axe. Il faudra qu'on ait constamment
K - = P (b - B(l b9), d'où l'on déduit Kx
li(3= Pb -I-Bbg,
(B
P) /;
la distance -A doit donc rester constamment proportionnelle à 1 et de sens opposé. On conduira donc le contre-poids
par une manivelle, dont le centre serait sur la ligne des centres, qui resterait toujours parallèle à la manivelle principale et dans une direction opposée, et cette manivelle y. sera telle que
- m
B
P : K.
Si maintenant nous reportons la figure formée par le poids
K, sa manivelle p et sa bielle y. en un point quelconque sans la faire tourner, le centre de gravité des poids B, "P et'K sera déplacé, mais il restera invariable pendant tout le.cours du mouvement. Nous reviendrons sur la position à donner au poids K. Nous n'avons plus à considérer maintenant que les couples die aux quantités de mouvement. Ils se réduisent au couple produit par le mouvement de la manivelle autour de son centre qui est constant, puisque nous supposons que la itesse anelaire est constante, aux couples produits autour de l'axe de rotation du cylindre par la bielle, lepiston et'le cylindre, au couple Proddit par le mouvement du contrepoids K autour de son axe de rotation. Nous ne tenons pas compte des couples produits par les glissements puisqu'ils sont constamment nuls. Soit
db.)"
dt
la vitesse angulaire du cylindre qui est aussi