Statistique géologique, minéralogique, minéralurgique et paléontologique du département de la Meuse.- Paris : Baillière, 1852. LII-694 p., 22 cm. [Image 413]

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o/5 romya, AG.) et quelques autres coquilles, -lâ&piupart bivalves, que Ion ne rencontre généralement qu'à l'état d'empreinte ; de sorte qu'il est souvent difficile d'en reconnaître le genre. Parmi ces espèces on peut citer les cardium Dufrenoycum, Buv. de Nixéville, et patella siiprajurensis, Buv. de Varennes et de Rosière-en-Blois. Ces bancs sont recouverts par d'autres également Calcaire calcaires, mais plus durs , compactes , à grain fin , tho&raP1,i<il gris ou gris-jaunâtres, à cassure conclioïde en grand et esquilleuse en petit, empâtant quelquefois des veines ou de petits lits irréguliers d'une lumachelle grise ou rougeâtre, t||s-dure. Ces calcaires compactes sont fréquemment traversés par de petites veines très-fines de chaux carbonatée cristallisée > on y rencontre aussi quelquefois des géodes de la même substance en cristaux dodécaédriques. Les fossiles y sont très-rares; on n'y trouve gœire-que Y ammonites gigas, ZIET. et le panopœa Voltzii (Pleuromya AG.), et plus rarement encore des dents de poissons voisins des pycnodus, ainsi que des épines Sasteracanthus. Ces calgaires sont exploités dans un grand nombre de communes pour servir à l'entretien des routes. Il y a quelques années M. Arns, lithographe à Verdun, a employé dans ses ateliers plusieurs pierres provenant des carrières de Sivry-la-Perche, de Brocourt, etc. Elles ont donné de bons résultats surtout pour le desstein à la plume, malgré l'existence de quelques poils ferrés ou petifes veines cristallines. Sur les pierres qui ont été polies pour servir à la lithographie on remarque quelquefois de petites