Statistique géologique, minéralogique, minéralurgique et paléontologique du département de la Meuse.- Paris : Baillière, 1852. LII-694 p., 22 cm. [Image 427]

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des bartcs est souvent traversée par des fissures larges de 5 à 12 centimètres, dirigées à peu près du nord au sud. Ces fissures, que les ouvriers appellent barres, sont presque toujours remplies de terre. Au contact des barres la roche est généralement plus tendre. La dureté en est d'ailleurs très-variable, surtout dans les bancs supérieurs. Ceux-ci sont habituellement plus jaunes et moins durs. On exploite souterrainement, en laissant des piliers et en remplissant les parties les moins solides avec des déblais. On muraille le haut des piliers dans les assises tendres que les ouvriers appellent caillaux. Le toit de la carrière est un calcaire très-dur, gris-verdâlre avec quelques veines rousses ; il a environ 0 m 40 d'épais- . seur. Il est recouvert par plusieurs bancs de même nature, dont l'épaisseur varie deO m 10 à 0 m 30 et qui sont visibles au-dessus de l'ouverture de la carrière sur environ 2 m 50. Les roches qui supportent la pierre morte sont analogues à celles qui la recouvrent. A Biencourt et à Gouverlpuis l'exploitation de la pierre morte a lieu sur une épaisseur de l m 40 divisée en cinq bancs. Elle se fait à ciel ouvert et presque superficiellement. Dans la carrière la plus profonde il n'y a que l m 50 de déblais à enlever audessus des bancs exploités. Les bancs de pierre morte contiennent très-peu de Fossiles & fossiles. M. Cornuel nV cite que des dents d e p y e n o - u P i e r r ?

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dus et de crocodiles, etlapholadomi/aparvula, CORN. Nous avons rencontré à Biencourl un banc contenant assez abondamment Yanomia suprajurensis, Buv., hpecten nudus, Buv., et un fossile mal conservé qui pourrait bien être le gerviïïia linœaris, Buv.

morte.