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PlIÉPARATION MÉCANIQUE DES intrzEnms
DE PLOMB ET DE ZINC.
cnonuns:,
MINERAI TRAITÉ
............
TENEUR.
en 10 heures.
Mélangés.
Galène.
crib!, i 3.420k Plomb, 17 p. 100 13 p.sou ordincre (1.Zinc,3) Zinc,
.
Stériles.
9 p. 100 plomb. 35 p. 100 Zinc.
p. 100 zinc.
Crible 36.0,00 Plomb, 17 p. luo 5.6400 à SI ii 4,0,, l 10 p. 100 plomb. 135 p. 100 zinc. continu ) (2011.) Zinc, 13 p.100 p. 100 plomb
11,700' â 4 p. 100 zinc.
430k à Su p. 100
de plomb.
i.200k
1.3000 à 2
On voit par là que le crible continu est un peu inférieur an crible ordinaire quant à la teneur en zinc du stérile ; mais on peut remédier à cela en surélevant un peu le dernier déversoir. D'un autre côté, la main d'oeuvre a été réduite à f,42 par tonne de galène préparée, tandis qu'avec le crible ordinaire elle est de 5,80. De plus, la production étant bien supérieure, les frais d'entretien sont moins 1
élevés.
Il conviendra donc, pour les grenailles de 3 à 15 millimètres, d'employer le crible continu. Pour les minerais difficiles, il fera rapidement un bon dégrossissage ; on pourra alors finir les matières aux cribles ordinaires.
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proprement dits étaient toujours traités sur des appareils de laverie, soit aux caissons allemands, soit aux roundbuddles, soit enfin aux tables à secousses. Aujourd'hui, au contraire, dans tous les ateliers bien dirigés, ces appareils tendent à disparaître pour faire place à des cribles continus, dits cribles du Hartz, et qui peuvent traiter tout ce qui est tangible aux doigts. Caisson allemand. - On connaît cet apparbil, qui dans les laveries du Hartz est nommé caisse à tombeau ; je n'en
dirai que peu de chose, parce qu'il est généralement abandonné ; je ne l'ai vu fonctionner encore que dans le vieil atelier de Holzappel ; mais là il doit disparaître aussi. Cependant, dans le cas d'une installation provisoire, ou
bien lorsque la main-d'oeuvre est à bon marché, cet appareil peut rendre de bons services ; c'est ainsi qu'on l'emploie quelquefois pour laver les cendres de zinc dans les usines à zinc et en retirer les poussières métalliques qu'elles renferment. Comme deux ou trois caissons suffisent pour une usine même considérable, il vaut mieux les employer que de monter des appareils compliqués et coûteux.
VIL -- TRAITEMENT DES SABLES.
On peut aujourd'hui ranger dans la catégorie des sables et traiter comme tels toutes les matières fines au-dessous de 2 à 3 millimètres et tangibles aux doigts. Les trommels ne peuvent guère classer au-dessous de 1/2 millimètre ; nous verrons plus loin comment, à la tête des classeurs à schlammes, on obtient encore certaines catégories de sables fins descendant jusqu'à 1/4 de millimètre et même au-dessous, lorsque les minerais sont bien débourbés, et qui peuvent encore être traités très-facilement, comme les sables -classés aux trommels. Autrefois, le domaine du crible à secousses ne s'étendait guère en deçà des grenailles de 2 millimètres. Les sables
Le grand inconvénient de cet appareil réside surtout dans l'énormité de la main-d'oeuvre qu'il entraîne lorsqu'on a affaire à un Minerai un peu complexe, et dans les pertes qui résultent nécessairement du grand nombre des repas sages.
Roundbuddle.-- C'est pour éviter cet inconvénient qu'en Angleterre surtout on a remplacé le caisson par un appareil mécanique connu sous le nom de roundbuddle, et qui peut exécuter le même travail. Cet appareil est employé 'actuellement dans un certain nombre d'ateliers allemands. Je l'ai vu fonctionner à Diepenlinchen, à Breinigerberg, Mechernich et à Holzappel. Mais dans ce dernier atelier, il était condamné à disparaître. Je ne donnerai pas sa description qui est bien connue;