Annales des Mines (1871, série 6, volume 20) [Image 64]

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MÉTALLURGIE DE L'ARGENT AU MEXIQUE.

MÉTALLURGIE DE L'ARGENT AU MEXIQUE.

bables- d'aussi grandes divergences dans la conduite dé cette opération. Ces arra.stras, que je viens de décrire, ont, au Mexique, de bien précieux avantages.;.ils.sont d'une construction partout facile et partout très-peu dispendieuse, à l' abri de tout dérangement, applicables aux plus grandes comme aux plus petites entreprises, et capables, ainsi qu'on peut le voir à Guanajuato, de résoudre complétement le problème de la porphyrisation exacte de masses énormes de minerais; mais on peut

Pour la première mule Pour la seconde.

aura

f=

-

f

f

0,85 F pour la mule extérieure, 0,85 F pour la mule intérieure.

.

. .

.

.

45 kilogr. 54

id.

Les mules faisaient en ce moment II tours en 85 secondes

16 heures après, alors que la porphyrisation arrivait à son terme, l'effort de tirage fut trouvé Pour la mule extérieure de Pour la mule intérieurè de

19 kilogr. id.

32

Les mules faisaient alors 4 tours en 70 secondes. D'après ces nombres, le travail moteur total avait été

e,70 =

Au début de l'opération de. A la fin de l'opération de

La distance du même axe au milieu du collier des mules, maintenue fixe par une attache durant le mouvement était : 2,40 i',85

C2)2

4a2b2

Pour la mule extérieure de. Pour la mule intérieure.

La distance de l'axe de rotatitm au point d'attelage, était:.

Pour la première mule Pour la deuxième.

b2

Le moulin étant -chargé depuis quelques instants, et le travail de porphyrisation régulièrement établi, l'effort de tirage fut trouvé

Le diamètre de l'arrastra était de

Pour la première mule Pour la deuxième.

(a2

qui donne par substitution des valeurs mesurées

est appliquée, question d'un très-grand intérêt au Mexique. Il suffit de voir marcher l'un de ces appareils, pour se

décrivent doit faire perdre une fraction notable de la force dépensée, et que si deux mules sont nécessaires au début de l'opération, elles ne doivent plus l'être vers la fin ; c'est dans ce but, que j'ai relevé les observations suivantes à l'usine de Cinco Sinores à Zacatecas, , sur un arrastra de construction récente, muni de quatre pierres: meulières pesant ensemble 1.25o kilogrammes et attelé de 2 mules de force à peu près égale.

im,90

.

Si l'on représente par F l'effort de traction donné par la mule, par f sa composante normale au bras de levier, on

se demander s'ils utilisent bien la force motrice qui leur

convaincre que le court rayon du cercle que les mules

5

2",10 = a

c

La longueur des traits, ou mieux la distance du centre du. collier au point d'attelage, était

.

.

.

5.422 kilogrammètres. 2 085

id.

En résumé donc, dans les,arrastras mexicaines, par suite du cercle étroit dans lequel tournent les mules, on perd de 15 à 17 p. #o. de la force de tirage qu'elles donnent. La force netrice nécessaire à l'un de ces appareils est de 0,76 de chéVal-vapeurs au début de l'opération, elle n'est

m11111.1Iae..