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NOTE DE M. LESEURE
RELATIVE AU MÉMOIRE DE M. EDCHKOLTZ.
nant, comme de raison, la vapeur contenue dans l'espace
La tension absolue de la vapeur, à la fin de l'admission, est de iatm.,82,, et le poids par mètre cube en est de ik,o90
nuisible à la fin de l'admission, mais qu'il eût été plus exact de tenir également compte de la quantité de vapeur
le poids total de la vapeur contenue dans le cylindre est
restée dans l'espace nuisible à la fin de la descente des
donc de 1m3,746>< 11,02 = 11,781. Puisque le travail utile produit par levée est de 4o. 4o5 kilogramme-mètres, on trouve pour celui produit par un kilogramme de vapeur (sans tenir compte de la vapeur restant 40.405 22.687 kilofinalement dans l'espace nuisible) 1.7ai
tiges, en la portant en déduction ; ceci n'ayant pas été fait, les chiffres ci-dessus de consommation de vapeur sont un peu trop élevés, et au contraire les chiffres de travail utile
produit par kilogramme de vapeur sont un peu trop faibles.
Quoi qu'il en soit, on peut s'en servir pour en faire la comparaison avec les chiffres correspondant de la machine du Nord de Charleroi, en -les calculant sur la même base, comme suit En rappelant le diagramme pris sur cette machine et représenté par la fig. 2 de la PI. XXXII, année 1872 de la Revue, je fais observer que l'admission commence au point c et dure jusqu'au point e; le chemin parcouru par le piston pendant cette admission est de il faut y ajouter le petit retour du piston, avant sa levée, depuis le point a jusqu'au point correspon-
dant à c; ce retour est de enfin l'espace nuisible, qui est ici de 5 p. 100, correspond à une longueur ,de course de 2m,5o o,o5
La section du cylindre, d'un diamètre de
im,15o
,4o, est im2,5593
Le volume de vapeur contenue à la fin de l'admission dans le cylindre et dans l'espace nuisible est donc de im3,746.
0k,777, le poids total en est donc de om3,175 o1c,777 = 01,156, de sorte que pour la levée suivante il ne faut réellement introduire dans le cylindre que 1,781 o,156 ik,645 de vapeur fraiche, venant de la chaudière, et
l'on voit qu'en réalité le travail utile produit par i kilogramme de vapeur s'élève au chiffre iMportant de 1.645
k.m. Néanmoins je ne considérerai ici, pour la comparaison
la section de la tige du piston, dont le diamètre est de om,165, est de 0m2,02 14 Reste surface libre du piston 1',5179
1m2,5179
la tension absolue de la vapeur restant dans l'espace nuisible, dont le volume est de 1-2,5179 0m, 115= 0rn3,175, est de atm.,55 ; comme le poids par mètre cube en est de
-=--- 24.562
0m, 115
Ensemble de
om,o55
mètres. Mais pour opérer plus exactement il faut remarquer que
proposée, que le premier de ces deux chiffres, à savoir celui
de 22.687 k.m., comme étant établi dans les mêmes conditions que ceux relatifs aux machines d'Égarande et de Sainte-Colette, qui sont respectivement de 10.462 k.m. et de 7.976 k.m. Puisque M. Leseure considère ces chiffres proportionnels comme « la vraie mesure de la perfection avec laquelle la vapeur est utilisée par le système de machine , et de l'avantage économique qu'on doit en attendre,» et que moi-même,
comme je le répète, je n'ai aucun motif pour ne pas accepter cette base de comparaison, je demande avec toute confiance si le chiffre relatif à la machine du Nord de Char-