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NOTE DE M. LESEURE
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CiéS très-favorablement par les jurys des expositions de Londres (187) et de Moscou (1872), dont le premier a accordé aux deux régénérateurs de force le diplôme (c'està-dire la seule récompense qui y fût distribuée) et le dernier la grande médaille d'or.
RELATIVE AU MÉMOIRE DE M. BOCHKOLTZ.
Je crois avoir une assez grande habitude des expériences
pratiques pour affirmer que les plus sûres sont les plus simples et les plus faciles à traduire en chiffres. Je m'en tiendrai là en attendant l'expérience telle que je la comprends, sans quoi la discussion se prolongerait inutilement pour la science et pour les lecteurs.
Vienne, le 8 mai 1823. L'Horme, .9 juillet 1873.
RÉPLIQUE DE M. LESEURE A LA NOTE PRÉCÉDENTE.
Ma réponse à la réplique de M. Bochkoltz sera encore plus brève que ma réponse à son mémoire.
Au fond, toute la discussion se ramène à ces termes Quelle est la mesure exacte de l'avantage du système Bochkoltz ?
Je me refuse à chercher cette mesure dans le résultat d'une série d'expériences et de calculs très-longue, souvent approximative, et par conséquent sujette à beaucoup d'erreurs. Je désirerais que la comparaison fût faite avec une machine neuve par la mesure du travail Tm , mesure si nette et si facile. Par travail moteur, j'entends, comme tous les auteurs des traitésde mécanique, le travail consommé pour équivaloir au travail utile et aux frottements de la machine et de ses organes proprement dits. Et il me semble incontestable que la meilleure machine est celle dans laquelle le kilogramme de vapeur produit le plus grand travail moteur depuis son admission jusqu'à son échappement. J'ai dit et je répète que j'attendrai la comparaison faite dans ces conditions, pour constater l'avantage et l'économie réalisés par l'emploi du système Bochkoltz.
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