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RErJE.411E.1,GÉOLOGIE:
EFFONDREMENT DE' LA MINE:AeUrGEMME, ETC.
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chie. Ces gisements, contenus dans le terrain miocène, sont en rap-
port ayee les fractures et les dislocations qui affectent cet étage. Ces dislocations s'alignent suivant une direction à peu près unique orientée nord magnétique 74" 3o' est. Or les sources de pétrole se groupent le long de deux lignes ,parallèles offrant cette même orientation et passant aux deux extrémités de la petite_ yille de Kampina. Les auteurs 'Ont pli'verifier sur tin domaine restreint, niais avec une grande,précisioliktlans-16 détail,là1dées théoriques
émises par M. de Ch ancourtois sur l'origine des gîtes de pé-
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Le Si octobre 1873, à une heure et demie de l'aprèsmidi, l'une des deux mines du département de Meurthe-etMoselle dans lesquelles on exploite le sel gemme en roche, celle de Varangéviile-Saint-Nicolas, s'est effondrée subitement sur presque foute son étendue. L'hnp ortance de cette mine, jointe aux circonstances exceptionnelles et intéressantes de l'effondrement, justifié les détails dans lesquels on va entrer ici.
La mine avait été ouverte, en 1855, par le foncement d'un puits (n° 1) situé à peu de distance au nord-ouest de la station de Varangéville, du chemin de fer de l'Est, à 13o mètres environ au nord du canal de la Marne au Rhin, que suit de très-près, sur ce point, la voie ferrée. La série des couches traversées par ce puits, telle qu'elle a été relevée au cours du foncement, est donnée- par le tableau suivant
TOME IV, 1873.
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