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84 ) âvant du Mont-Ponpét , étoit la quantité des carrières de gypse , exploitées autour de ce monticule , et l'espèce de rapprochement naturel quont les mines de sel et les gypses et leur mélange dans les montagnes calcaires. Un nouvel examen de ces deux montagnes, un enfoncement que j'ai vu sur la pente da Mont-Belin , entre Salins et cette montagne, m'ont entièrement déterminé à faire sonder en cet endroit ; en voici la raison : La mine de sel doit ètre nécessairement dans une grande cavité, comme toutes celles qui sont dans les terreins calcaires primitifs. Depuis que les sources salées se sont formées aux dépens de la niasse, rui-e grande partie du sel sest dissout ; cette dissolution a formé un voûte ne porvkiide la partie supérieure de la tant plus sur la masse, a dû tendre à s'ébouler. ..4e- trou en forme d'entonnoir sur le pen-
chant du Mont-Belin ,::est bien positivement ma résultat d'éboulement: Cet éboulement et ce qui a dû arriver à la mine de sel, ont line telle analogie , si d'ailleurs on rapporte bis autres rapprochemens que j'ai faits: , et elles établissent une telle probabilité de l'existence de la mine en cet endroit, que j'estime que l'on peut y sonder.
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EXPERIENCES SUD. L'INFLAMMATION DU MÉLANGE DU SOUFRE
AVEC DIFFÉRENS MÉTAUX SANS LE CONCOURS DE L'AIR VITALE
,Faites en Hollande, par J. R. Deiman, Paats van Troostwyk, P. Nieuuland N. Bondt et Laurenburgh , tirées des Annales, de Chimie de Creil, 1793 second volume, onzième cahier. Traduit par CH. COQUEP.EAT,
PAR AGR APUB PREMIlgg. QUAND même les opinions pour ou contre
le phlogistique , entre lesquelles les chimistes sont divisés , n'amoient d'autre utilité que de fixer sur cet objet l'attention des hommes les plus célèbres , de faire tenter beaucoup d'expériences, auxquelles on n'auroit pas songé, et
qui cependant répandent un grand jour sur F iij
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