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la brasque et de conduire la ciiisson de la
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fente.
yeeonnoîtra 'onsuit),, deux défauts ; le c'est le chauffage des masseaux audessdu bain de fonte, ce qui ( comme nous lavons observé relativement à la méthode de Rives ), peut donner à l'acier une nature fer
reuse. Le second, c'est la trop grande inclinaison de la tuyère , qui doit quelquefois forcer le vent à soulever le laitier et à toucher la fonte. Enfin, on regardera, sans doute, comme un
soilira la gueuse en foute mazée selon e de la Nièvre.
avantage partictilier à cette méthode, la con-. version de la gueuse en .fonte mazée : cette
_cic se servira du foyer ci-contre, on le
opération 'raffine en partie, et la rend très-
0.63; 'la tuyere sera de même horizontale.
Si nous comparons ensuite les méthodes du Ck.partereent de la Nièvre et du département de l'Isère avec celle de Carinthie ( dé-
qui
poreuse et plus fusible.
it
ODE NOUVELLE 'PROPOSÉE. 1,7
crite dans l'avis aux ouvriers en fer et en acier publié, par ordre du comité de salut public ) , nous .voyons quelles ont toutes trois
une conformité sensible avec les principes
reconnus aujourd'hui sur la nature de la fonte et dé l'acier.. Dans toutes trois, on parolt n'avoir d'autre soin que d'éviter de brûler le charbon que la fonte renferme, et d'aider, par tous les moyens pos_sibles
,
les combinaisons des molécules
charbonneuses avec les molécules de fer. Dans toutes trois, le creuset est brasqué
afin que la fonte, entourée de charbons en u tous sens, puisse S'approprier celui qui hi mariqueroit.