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I
26. II résulte de ce qui précède , faut éviter de confondre , par exemple, 'G G' 'avec G2 2G. Le premier, signe indique des décroisse- mens qui se font Sur les faces t T (figure 8) , en allant des arêtes G vers celles qui leur correspondent derrière le parallélipipède , et le second, des décroissemens qui se font sur la face M , allant à la rencontre l'un de l'autre. Si les deux décroissemens avaient lieu simultanément , leur signe représentatif serait 'G'. Dans les signes précédens , chaque lettre, telle que 'G ou G' , ne peut être appliquée qu'à une arête située comme cette lettre elle-même, à droite ou à gauche; mais 'G' s'applique indifféremment
à l'une et à Eautre arête c'est pourquoi il est inutile de répéter cette lettre.
Autre exerr, pie tiré de la topaze.
27. Donnons un nouvel exemple tiré de là
topaze distique , vulgairement topau de Saxe (figure 15). ) Si nous supposons que la, fig.- 9 représente la forme primitive , qui est un prisine droit à bases rhombes , nous aurons , pour signe
de la variété dont il s'agit, 'G' M B ,E P,
s'interprète de la manière suivante
I.° les pans
semblables à otz qr (figure 1 4 ) 'proviennent - d'un décroissement par trois rangées de part et d'autre des arêtes G ( figure p ) ; 2.° les pans
t yAz , s y A p, sont parallèles aux pans ainsi le décroissement précédent n'a pas atteint salimite ; 3.° les facettes h ky t y , n Iy s b , et ghki , buki , proviennent de deux décroissemens successifs sur les arêtes B , mi par deux rangées , l'autre par trois ; 4.° les facettes a cg h y xin , et celles qui leur correspondent
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de l'autre côté, proviennent de deux décroissemens successifs sur les angles E , l'un par une l'autre -:par deux rangées ; 5.° enfin la face terminale cd fi i g , répond à la base P de la forme primitive.
28. On conclura aisément, des mêmes principes-, que le dodécaèdre à plans rhombes , originaires
du cube (figure 8) s'exprime par cette seule lettre B ; que l'octaèdre originaire du même noyau a pour signe A, &C". App?ication 29. Le rhomboïde, en le supposant placé sous aurhomboïde. l'aspect le plus naturel , c'est-à-dire , de manière que les deux angles solides composés de trois angles plans égaux , soient sur un même axe vertical , n'a pas proprement de base , mais seulement deux sommets qui sont les extrémités de l'axe. On désignera ses angles et ses arêtes comme on le voit figure 15. La lettre e fait connaître que l'angle qui la porte, est semblable à celui qui est marqué de la même lettre majuscule; de sorte que si tous les angles latéraux avaient leurs indications exprimées , les trois qui sont le plus près du sommet supérieur porteraient la lettre E , et les trois qui avoisinent le sommet inférieur , et qui sont -visiblement opposés aux premiers , auraient e peut lettre indicative. Comme le rhomboïde a ses six faces égales et semblables , il n'est besoin que, de conSidérer les décroissemens relatifs à l'une des faces , comme celle qui porte la lettre P , parce que tous les autres ne sont que la réplique de ceux-ci. Cela posé , I.° les décroissemens qui partent de l'angle