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( 579 ) engagés en partie dans son_ intérieur '; pourrait représenter ttne forme secondaire ; seulement les lois qui détermineraient cette forme , seraient sou-
vent plus composées que les lois ordinaires, comme cette forme elle-même s'écarterait de la simplicité de celles que produit directement la cristallisation. Une des variétés les plus rares de cettei,espèce,
est celle qui est représentée fg. 7 ; c'est la 7,.e de Romé de-Lisle , t. III,, p. 422 : nous la nommons étain oxidé distique , c'est-à--dire, à deux rangs de facettes ; elle a en tout trente-six faces, dont quatre verticales M, M, et de part et-d'autre huit Obliques inférieures z, z', et huit obliques supérieures o., s. Si l'on désigne à l'ordinaire par B les arêtes de la base du noyau cubique , les angles par A , la base elle - même pan P , et les pans par M,, on aura pour le signe indicateur de cette variété 7
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M A B' 135 ) 13 A , dans lequel le décroissement intermédiaire se rapporte aux facettes z, z' , le décroissement B aux facettes s, s , et le décroisse.
( 579 ) moins à en juger d'après l'état actuel de nos con-: naissances , que celui qui produit ces mêmes cristaux grisâtres , et qui se trouve aussi en masses irrégulières-.; Mais: il ne sera pas inutile d'entrer à ce su-jet dans quelques détails.
On ':à pris pour de l'étain blanc, tantôt de la baryte sulfatée, tantôt des cristaux de topaze'irurt blanc mate (1) , et tantôt des cristaux de lance métallique nommée 1,1ulgairement' tungstène
qui affectent , comme l'on sait, la forme de l'octaèdre régulier. Mais on a prétendu de plus qu'il existait de --v'érit«able étain blanc sous cette dernière formé ;: Rom. é de Lisle:le dit d'une manière positive; dans son article sur l'étain (2 et, il 'y revient dans sa table des: matières (3) , à l'occasion d'une note ajoutée à laitraduction du mémoire de .Schéele , sur
Ta tungstène (4), dans,laquelle le traduCteinprès avoir remarqué que les cristaux d'étain-Cibla-1k ou le- zinit 'T.spath des A llemand§;1 n'étaient': autre
chose que là tungstène elle-mêMes, prétend que c'était cette substance 'que l'on avait annoncée connue -irendant à l'analyse 64 livres d'étain par
ment A aux facettes o, o. Voici l'indication des principaux angles : incidence de M sur M, 9 de z sur z, t 16d 20'; de z sur z', 5S' 3 o'; de s sur s, t 2 Od de o sur s , 5 od. Valeur de l'angle n, 18a 4'. L'étain oxidé prend, suivant les circonstances, différentes couleurs , qui sont le brun , le noir, le
quintal.- :Romé de. Lisle répond que lès ibristam'c soumis à: l'analye étaient de vrais octaèdres ( 5 )
rouge , le jaune , et le blanc ordinairement inélang d'une nuance de jaunâtre.. On connaît des cristaux de cette dernière teinte, dont les formes sont_semblables à celles des cristaux qui présentent les «autres couleurs; et il n'existe pas d'autre étain blanc , du
P . ij (2.):Criftà1.,t. HI, p. 414.
d'étain' blanc, et garantit le fait comme en ayant été lui-même témoin': D'après cette assertidni,i :on serait bien tenté de -
(i) Voyez l'articre Topaze , J'Oum. des mines,
XX,VITT,
Journa.l.cle physique , 1783, pi: 1,24., note 2. II ne dit Pas ici que ces octaèdres fussent réguliers, mais
il le suppose titement..
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