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la trouveront curieuse par la position Oblique- de son noyau 1s ). Nous nommons cette variété cobalt gris partiel , parce que les lois dont elle dépend n'ont :qu'une existence partielle. Les .minéralogistes ont parlé d'une mine de cobalt sulfureuse ; mais- ils ne sont d'accord entre eux ni se; la composition ,,ni sur les'caractères de cette substance, dont---nOusn'avons- été Ipartée de voir aucun morceau. C'est à Bastnaès , près de Riddarhytta'n en Suède qu'elle a été découverte pariliM-hdi('2 ).
- La pliipart des auteurs'y admettent .1e, fer. ,
le cobalt et le soufre. Selon Cronsteclt , qui àétén suivi par Vallérius , le cobalt y est minéralisé' par ce. le fer sulfuré (3 ) ; et suivant Romé de de fer, et ininéra,serait du cobalt mélé d'un peu usé par le soufre ( 4). Berginann regarde le cobalt et le fer comnie'étant
- --et il
ici simplement souillés d'acide vitriolique abonde, Mais que -Feeide remarque-que le fer y est en trop petite quantité peur former du Ceib'e-Ie vitriolé ',,puisque la,mitie présente l'aspect métal ligue .6 : il admereune autre Part un cobalt sulfuré, mais qui ne diffère du cobffi natif que par une très-petite quantité de soufre , (t) Le citoyen Tremery , ingénieur 'des mines :.d'après la seule. inspection du signe , a -déte, miné, avec beaucoup de facilité, la
forme du cristal , ainsi que la mesure de ses angles. Mém. de l'açad. d'Upsal, 1742 , et de Stockolin , 1746. Syst. minéral. , édit. 1778,-4. II, p.178.
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Suivant Vallérius, elle est peu brillante; et le citoyen Mongès le ieune la dépeint comme la plus belle et la plus -brillante dés iffines de cobalt ( z) ; il la nomme en conséquence mine de cobalt spéculaire. De Bol-n, qui se sépare ici des autres naturalistes et se plaint de l'ambiguité de leurs descriptions
en donne une qui elle ménie serait suSceptible d'éclaircissement : il suppose par-tout qt.te- le Co;.balt. sulfureux , qui_ti'ést, selon lui , qu'un oxide sulfureux de cobalt , joui f de l'éclat métallique.
en cite une variété en cubes dont les bords et les angles sont tronqués , ce' qui paraît indiquer la forme 'dusolide cubô icosaèdre , que présente connnunémerti l'espèc'è précédente.
Tout ceéi 'est une nouvelle preuve de l'embarras dans lequel on eSt:sOuvent jeté', par l'état d'imperfection Où se trouVÉ.éric.ore le minéralogie,
lorsqu'Or'se propose de faire tin traité, et non pas simplement un livre. Ce qui paraît résulter de pins clair de cette discussion' , c'est l'existence d'une mine de cobalt exempte' d'arsenic ; et si l'on s'en tient au sentiment de Bergmann , qui a fait sur l'objet
Cristal.,;:. 1j1, p, .134. (5) Sciagi:.; édit. de 'Lcu,ne'tberie, t. (6) Opusc, iiiisysica et chimica .(1.7)
t, II , p. 44$.
)
A l'égard- du baron de Boni èe qu'il appelle mine de cobalt sulfureuse , n'est point, de son propre aveu, fa même substance dans laquelle Bergmann a trouvé .del'acide vitriolique ; c'est un oxide de cobalt combiné -avec le soufre ; et les différens morceaux qu'il en cite, provenaient des mines de la Hongrie, de l'Autriche et de la Bohême ( s). Il y a aussi de le diversité dans les caractères extérieurs attribués à la mine de cobalt sulfureuse.
Catal. ,
t. II, p. 1,93.
Sciagr., édit, de Lame'therie ,
ed."