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dégraissées.
L'ARGILE des montagnes des environs de Sis-,
téron sert à faire de la poterie, en y mêlant du
sablon d'Apt.
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ON connaît sous le nom de pierre de caiissane une pierre tendre, coquillière, que donnent toutes les carrières du Leberon et des montagnes de Lurs. Elle se taille aisément dans la carrière, et s'endurcit à l'air ( ).
IL y a du marbre dans la plus grande partie
) fa.
Je pays. Ce banc se trouve entre des bancs calcaires presque verticaux.
LA terre à foulon se tire de la commune d'Eoux, canton de Castellane, où l'on en vient chercher de très-foin. La rareté de cette terre dans les parties du département où l'on fait des étoffes de laine, est cause qu'en général ces étoffes ne sont pas bien
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NO TE Su R les caves de la commune de Laon département de l'Aisne.
EN
travaillant à la notice du département de l'Aisne, qui a paru dans le n.° XX-V de ce Journal, on avait reçu quelques renseignemens qui semblaient indiquer que les caves de la ville de Laon, chef-lieu de ce département, avaient, même dans les chaleurs de l'été , une température beaucoup plus basse non-seulement que l'air extérieur , mais
aussi que celle que conservent les caves de l'observatoire de Paris : on ne voulut pas cependant annoncer alors ce phénomène , sans avoir recueilli à ce sujet des éciaircissemens plus précis. Le conseil des mines consulta le citoyen Lemaître -, commissaire
des poudres et salpêtres , demeurant à la Fère , duquel, il avait déjà reçu un mémoire fort bien ,fait sur la lithologie du département de l'Aisne
du canton de Claret ; mais seulement, suivant une lettre da citoyen Stout, que nous avons sons les yeux , en blocs détachés, qui paraissent avoir été chariés par les eaux. On ne le trouve point dans les environs en bancs réguliers.
et ce citoyen ne se borna pas à répondre de la manière la plus complète à l'invitation du conseil il obtint aussi du citoyen Cotte son oncle , connu par de nombrenx et utiles travaux météoroIogi-: ques , la note- des observations que ce physicien
LE gypse est assez répandu dans ce département. On en trouve en général près des mines de houille et des sources salées que nous avons citées. Darluc en indique aussi près des mines de Curban , entre
vaste plaine très-marécageuse, sur-tout dans sa partie
la montagne d'Aujarde et celle de Malaup (I) Darittc Préface du tome II, p. xj.
avait faites à Laon pendant l'année t 78 3. Voici les résultats de cette correspondance. La commune de Laon est située sur une montagne isolée , longue de mille mètres environ , sur une largeur moyenne de t 6o mètres , au milieu d'une
méridionale. Cette commune est élevée de 1 oo mètres au-dessus d'une petite rivière qui prend sa source au pied dt la montagne sur laquelle elle