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492 MANUFACTURE DE NOIR DE rinvir,
placés à côté les uns des autres, au lieu, de trois que présente le plan.
Qu'a angle droit de la ligne A C il y
a trois fourneaux adossés à ce mur.
45. Que parallèlement au mur CD, il y en a cinq autres opposés respectivement, chacun à un pareil nombre, placés sur la ligne A B, de manière que r' , que l'on ne voit pas, est éloigné- de r,JIÊ'ztre i, d'une distancê égale à deux- longueurs de fourneau, tout compris, et que t' est placé relativement à u, mur mitoyen, comme t l'est par rapport à Il faut encore concevoir qu'une partie de r 'X est, ainsi que toutes les mêmes portions des autres fourneaux, n'importe sur quelles lignes ils se trouvent, recouverte d'un demi-hangard
que l'on voit en H, figure Enfin, si l'on veut avoir une idée de ce que sera cet établissement, lorsqu'il sera porté au complet, il faut s'imaginer que la ligne C D, laquelle est parallèle a A B, et qui n'a encore, comme il a été dit, que 5 fourneaux , sera par la suite aussi longue que celle-ci, et recevra, comme elle neuf foyers. 4. Quoique je termine ce Mémoire par l'explication détaillée du dessin, je crois indispen-
DÉFAWDEMENT DE LA SARRE.
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figure 2 qui le recouvre,- eid'où elles s'échappent enfin privées de la substance qu'elles contenoient, pour se perdre dans l'atmosphère. 5. On emploie la houille des mines de la Rush-une, éloignées au plu à- de 4 à 5 hectomètres de l'établissement. Cette ho-uille est d'une nature peu collante , et peut être regardée comme une houille sèche. Elle s'extrait en gros, quartiers cubiques; c'est pourquoi, avant de
l'employer aux fourneaux, on est ordinairement obligé de la casser avec des masses de fer, en Morceaux gros au plus comme les deux
poings. Oh en met dans chaque fourneau environ 7. kilograme.s, ( 2 boisseaux ); cependant ce n'est point une règle invariable, e l'on en employe
d'autant moins que sa qualité est meilleure ; c'est-à-dire, qu'elle est plus collante -: on en
forme un petit tas près de l'orifice du fourneau.> comme on le voit dans lalig-ure 3. On y met le feu à l'aide d'un peu de bois sec; quand il est bien allumé, on étend avec un long rouable de fer, porté par. un manche en bois
la houille embrâsée jusqu'an coude ou angle. d'inclinaison du fourneau (i) ,. ce qui fait une-
sable , pour l'intelligence de ce qui suivra, d'observer que les parties principales d'un fourdans le foyer X ,Aure 1, neau consistent,
que l'on appelle aussilburneau, où l'on brûle le combustible qui donne le noir de fumée ; 20. dans la voûte S, où se précipite la plus grande partie de ce noir et le meilleur; 3.. enfin, dans le cabinet t, par où ces fumées pass'ont pour se rendre dans la galerie plus élevée 16,
) Les fourneaux des manufactures d'Illingen et de Saint-Imbert ne présentent point cet angle , ils ont la-même inclinaison depuis l'orifice du foyer jusqu'à la grande voûte; ceux-ci ont leur sol recouvert- en- briques, posées. à--plat, au lieu de l'être de champ. Enfin chaque fourneau est isolé; niais si ces fabriques ne paroissent pas présenter autant do précon ni d'ensemble dans la distribution elles ont Pavantage surtout celle de Saint-Imbert , d'avoir à; leur poride des l'ouilles plus collantes qui fournissent plus de noir,
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