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EMPLOI DU SABLE DE MONTROUGE
.948 Imitent au.
verre Pile dans la mè-
ne propor-
9,"
quand on se
de Matou, MC.
mêlée , dans certaines proportions , avec dti ciment pilé et réduit presqu'en poudre ; ils 014
disposé ce mélange sur l'âtre en briques de leur four , et l'ont battu soigneusement , couche par une pente convenable couche, lui donnant leur four jusqu'à blanc, et 'alors ils ont chauffé après avoir projeté dans une épaisseur déterminée une couche de quartz pilé et tamisé, ils vivement pour proont continué le, feu assez duire la fusiim de cette matière, qui s'est étendue sur toute la surface de la sole en présentant un vernis plus ou moins apparent ; c'est alors qu'ils ont chargé, en ayant soin néanmoins d'employer d'abord des feuilles d'âtre ou d'autres substances cuivreuses, afin d'achever d'imbiber entièrement les parties où il aurait pu se former quelque fente ou crevasse. Ce procédé a réussià parfaitement, et il serait à désirer qu'il fat mis exécution dans tous les lieux où l'on pourrait réfractaire et du se procurer de l'alumine bien pratique avec quartz. Je l'ai mis moi-même en
beaucoup d'avantage, et je ne doute pas que des âtres ainsi construits ne puissent résister ion g-tems pour des fourneaux. consacrés à la fusion des matières cuivreuses, et en particulier des scories provenant du travail du métal des cloches. Ce moyen.que l'art a imaginé, la nature le
Âtre conspuséaveedn présente quelquefois tout formé dans certains
ou sables dont la composition approché plus fait séla brique. Alors on les moins de celle de qu'on mêle dans un forrr , à une 2VCC du ver> cher et cuire lentement 3o degrés de Réaumur, te Pile de' température de 28 à
s'able dellotuilly- ou de
bouteille
-
les pile ensuite -et on les tamise de manière les réduire en une poudre très-fine; c'est alors
mt de vitre, on dans la pro-
DANS LA PRÉPARATION DES ÂTRES.
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,çqu'on y ajoute du verre pilé dans une propor trou qui peut varier sans aucun inconvénient , depuis un douzième jusqu'à un huitième en vo lume , ainsi que je m'en suis assuré moi-même
en cubant les vases qui avaient servi au mélange. J'ai aussi observé que, passé ce terme,
le quartz ne s'agglutine piùs avec ce sable , à la surface duquel il doit offrir un glacis ; mais il se forme alors dés inégalités plus ou moins apparentes, et il semble que la matière ait éprouvé un certain degré de fusion, du moins dans quelques parties qui offrent un applatissemerit plus
ou moins sensible ; lorsque le fourneau est chauffé à blanc, c'est alors qu'on projette une
première couche du mélange, mieux encore tout ce qui doit, entrer dans la composition de la sole, ( on emploie pour cela du sable pilé et tamisé , qui remplit un tonneau dont le diamètre 211.
est de 0,623 (23 pouces), sur une hauteur de 0,676
( 25 pouces), tandis que le vaisseau qui contient le verre pilé n'a que 0,352 (13 pouces) de
diamètre et 0460 ( 17 + pouces ) de hauteur ) la couche doit être étendue de manière à pré. senter un léger creux dans la partie du milieu, et elle se relève vers les parois du fourneau et contre l'autel; l'ouvrier a aussi le soin- de préparer, en allant de l'autel au bec du fourneau, m. une pente qui doit être de o,68 ( 2pouces+) environ pour un fourneau de ravivage, et qui ne M. doit pas excéder 0,041 ( pouce) dans les fours de raffinage. Cette méthode était usitée depuis long-teins
portion qui peut varier (l'un don7,ième ou
huitièmeen
volume.