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MINES DE SAXE.
MINES DE-S-AXE.
un prix modique k fixé ; on s'arrange avec les professeurssle gré à gré pour des cours parti-. culiers. En écrivant sur "économie des mines de Frey-
minute. Je crois qu'avec la même force il serait possible de produire un plus grand effet, A> Junghohebirke, un courant d'eau de cent qua, rante pieds tombant sur une roue de; trente-cinq pieds de diamètre, lui fait faire six cubes' tours et demi dans une minute ; cette roue, placée hors dela mine, porte l'un descend jusqu'au fond dedeuxtiransdont la mime , à cent, quatre-vingt toises de profondeur, et met en. mouvement treize pompes. L'autre ne va: qu'à cent quarante toises, et meuttirant seize pompes. Voilà donc vingt-neuf pompes de neuf à dix pouces de diamètre ; le jeu du Vérité, n'est que de trente-un à piston, à la trente-deux pouces : il est vrai
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berg en général, il est deux points d'utilité
générale que je ne puis passer sous silence savoir, la distribution des eaux qui mettent en
mouvement les divers machines hydrauliques, et la grande, galerie d'écoulement. Les eaux. sont un des premiers besoins des tion des mines, puisqu'elles sont le mobile le plus avaneaux qui mettent en taGeux que l'on puisse appliquer aux diverses b mouvement machin qu'elles emploient. Difficilement troules machines. Vera-t- on un endroit où elles soient rassemblées et distribuées avec tant d'économie et d'intelli-
gence qu'à Feyberg. A trois ou quatre 'lieues
au nor&eiaYiIie, on a construit trois grands
bassins ( pies' grand a environ quatre cent toises de diamètre) dans lesquels se rassemblent les eaux qui viennent des parties les plus élevées de la chaule ,du Erzgebirge. De ces bassins, les eaux, sont conduites et distribuées aux diverses mines ; et l'on fait en sorte que le même courant rende le plus de service possible.
Un courant, pour une roue ordinaire, fournit environ cent pieds cubes d'eau par: minute. Le C.en Muthuon ingr. des mines, dit (JourXLVI ) qu'un courant qui na/ des Min, fournit deux cent trente-trois pieds cubes d'eau (c'est moi qui fais les réductions ), tombant sur une roue de trente-quatre pieds de diamètre , fait mouvoir douze pompes dont le diamètre est de onze pouces ; le jeu du piston est de cinquante-neuf pouces, la roue fait cinq tours par
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que les machines.de Freyberg sont des chef-d'oetrvres dans leur genre: Voici deux exemples de la manière on utilise ici les courans ; celui dont nousdont venons de parler est conduit sur la, d'un cOteau , sur le penchant duquel sommité on-a placé immédiatement, les uns au-dessous des autres, quatre grandes laveries ou bocards _tombant d'une .
roue sur l'autre, il les met. toutes en mouvement. De là, il va faire mouvoir le train de pompes et le barytel de Junghohebirke , ainsi que sa laverie à
une demi-lieue plus loin ; il sert aux bocards de Kuhschacht-, après quoi il se divise, une partie va servir à- la mine d'Him-;melfurst , et l'autre à celle. de Kuhschacht comme celle-ci est très-profonde, et que les eaux; de filtration y sont considérables , on a été oblicré d'y établir quatre équipages de pompes,.
mues par autant de roues. On a profité de l'élévation du point
où arrive le courant, au-
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