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SCIENCES ET ARTS:
Il décrit ensuitelés appareils dont il s'est servi, et les moyens qu'il a; employés pour placer les gaz qu'il voulait éprouver, sous la pression constante de Patmospluire , et pour enlever toute humidité ou plutôt toute eau liquide qui aurait pu rèster dans les vases. Des expériences nombreuses et répetées avec soin, lui ont donné les résultats suivant. » ro. Les gaz atmosphérique, oxygène , hydrogène, yazote... en passant de la température de la glace fondante celle de l'eau bouillante , se dilatent de -ide leur volume, ou deà 36, 52 parties » sur tao ". ».2.p. Les gaz dissol tildes, tels que les gaz acides carbonique, » riatique , sulfureux... suivent la même loi de dilatation que lesmugaz indissolubles ( Le Cit. Guay Lussac s'est servi, pour cette seconde Suite d'expériences , d'un appareil fort simple , dans lequel il introduisait en même-teins deux tubes gradués, dont l'un contenait un gaz-indissoluble , et l'autre un ,raz d issol able. ) » 3°. La vapeur de l'ether se dilate aussi de la même quantité que » les gaz pour une même élévation de température Le Cit. Charles a obtenu un toème.-résultat , il y a quinze ans', pour les gaz indissolubles , mais un résultat un peu différent pour les gaz dissolubles.
Amontons a prouve que l'air plus ou'inoins
se dilate toujours de la même quantité, en passant de lacomprimé température zéro à celle de 80 degrés. Saussure a fait voir que l'air plus ou moins humide se dilate de la même manière pour une même température. On peut donc conclure, avec l'Auteur du Mémoire, tous les » gaz et même les vapeurs , quelle quc, soit le,r densité»que , leur disso» labilité et leur nature , sont également dilatables des;ffa,- de leur » volume en passant de la température de la glace fondante à celle » de l'eau bouillante à. A, B.
III. Identité des acides acéteux et acétique. Le Cit. Darracq a lu à l'Institut, le premier un Mémoire dans lequel il prouve que l'acide acétique ne brumaire, contient ni plus d'oxygène ni moins de carbone que l'acide acéteux, et il conclut que ces deux acides ne sont que le même acide qui, génation , doit se nommer acide acétique. etant au maximum o'oxyLes expériences du Jit. Darracq ont été répétées et trouvées exactes par le Cit. Vauquelin , qui a fait un rapport à l'institut sur ce sujet, le 16 pluviôse. A. B.
Fin du onzième rolume.