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PIIPARATION DES MINERAIS passent, les premiers au banc de triage, et les seconds aux laveries. Les 6o4 quintaux livrés, contenaient 388 marcs d'argent, et ils ont été payés 13228 francs : ainsi le quintal contenait
EN SAXE.
t,34
5,14 onces d'argent, et il a été payé 21,90 francs;
ce qui est à raison de 24,07 francs par marc. Les frais de la séparation , dont il a été question dans l'article précédent, ceux du triage et ceux du bocardage à sec, se sont m ontés à 812 fr.;
les divers transposts , ( nous en avons parlé au Commencement du s. zo ) à. 204 francs, l'entretien des machines ( crible cylindrique ) et les matériaux consumés, à 32 francs : ainsi la tota-
lité des frais est de 1,048 francs. Le quintal exige donc 1,74 francs de frais de préparation, et puisqu'il a été vendu 21,90 francs : nous en conclurons que ces frais emportent environ le o8 de la valeur. État des livraisons du- .Klaubewasehe en 1799. -,,,-.
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TiumzsTREs.
68 f
. .
777. 64s. 604.
Total.
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)UINTAT.Tx de minerais livrés, .
.
2703.
A n T.
Marcs d'argent contenus dans PAIEMENT. la livraison.
340. 397.
110721iv.
.
365. .
.
388.
.
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'49°.
12948 12244 ] 3228
49492
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I II.
Du lavage à la cuve (Setzwdsche). xxiv
La préparation à faire subir à cette partie des.
menus-dédris qui,. sous la forme de gravier,
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s'est déposée dans la caisse P, /Tg' 1, a également pour but de séparer les Unes des autres les diverses espèces de minerais qu'elle contient comme la petitesse des grains ne permet pas de faire cette séparation à la main, on y a substitué le lavage à la cuve, en allemand, setzwasche ( lavage à sasser. ) Voici en quoi il consiste. On met le minerai à laver ou à sasser dans un crible ordinaire dont le fond est de fil d'archal : on plonge ce crible .dans une petite cuve pleine d'eau , et on l'y agite en lui donnant de petites secousses de haut en bas. L'eau, en s'insinuant par les trous du crible lorsqu'il s'enfonce, choque et soulève, à chaque secousse, les grains de minerai : cette impulsion, jointe à la à.iminution de leur poids dans l'eau , fait qu'ils nagent, au moins pendant quelques instans , dans le fluide ; ils y sont mis àfiot, si l'on peut employer ici cette expression : ils retombent ensuite, en suivant les lois de l'hydrostatique : ceux dont la pesanteur spécifique est la plus considérable, tombent les premiers et occupent le fond, de sorte .que lorsqu'on retire le crible de l'eau, la matière qu'il contient est comme divisée en autant de couches, qu'elle est composée de substances de pesanteur-spécifique différente ; et plus ces substances sont pesantes, et plus leur couche est près du fond. Comme presque toutes les espèces de minerais, diffèrent les unes des autres en pesanteur spécifique, on voit que chacune d'elles formera dans le crible une couche particulière ainsi, en enlevant successivement et séparément chaque couche , on effectu.era la séparation. -désirée. Communément les parties pierreuses .
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