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obtient des effets tout opposés, c'est-à-dire, que
l'attraction augmente de plus en plus. Si l'on répète cette expérience sur l'extré, on obtient les mêmes mité sud de résultats, mais en sens inverse. Voici maintenant les expériences que j'ai faites avec les barreaux d'acier qui donnaient quelques signes de magnétisme. Le premier barreau d'acier, dont je me suis servi pour répéter lés expériences qui prouvent que le fer acquiert sur-le-champ la polarité par la seule positioneverticale , et m'assurer s'il en était de même 'de l'acier, me fit voir . qu'il ne jouissait pas de la .même faculté. Je voulus répéter cette expérience avec d'autres barreaux d'acier:de différens calibres , et de diverses formes et longueurs ; je pris de l'acier tiré rond de 3 à 4 lignes et jusqu'à 6 lignes de diamètre et de i5 à 18 pouces de long; j'en pris aussi de carrés de 3 4 4 .lignes de face et de 12 à 15 pouces de long ; enfin, tels que
je les avais dans Mon laboratoire, la forme et la grosseur devant être indifférentes. Je trouvai de ces barreaux qui, à la première expérience, c'est-à-dire , cules tenant verticalement, et approchant le bout inférieur du pole nord de l'aiguille, me faisaient observer la répulsion; cela me déconcerta d'abord : je retournai mon barreau, et j'eus attraction ; ce qui inc fit connaître que le barreau d'acier avait reçu un commencement de magnétisme qui lui avait donné des poles. je continuai mes expériences en présentant, comme dans celles faites avec la barre de fer, et décrites ci-dessus, les extrémités de ce barreau d'acier,tenu dans une sisituation .
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AVEC UNE AIGUILLE AIMANTE.
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tuation horizontale, à l'extrémité nord de l'aialors j'eus , en changeant alternativenient de bout, attraction ou répulsion suivant que les poles de même nom ou de noms différens du barreau d'acier, et de l'aiguille aimantée , étaient en -3résence les uns des autres. Dans le nomrare des barreaux d'acier, des formes, grosseurs et longueurs ci-dessus énoncées, que j'ai essayés, j'en ai trouvé seulement trois qui n'avaient aucun signe de commencement de magnétisme, et avec lesquels les expériences ci-dessus décrites réussissaient parfaitement. Quant à ceux qui avaient des commen.cemens de magnétisme, et par conséquent des poles , on aurait pu conclure des expériences
auxquelles ils ont servi, qu'ils étaient d'acier, puisqu'ils avaient acquis et conservaient assez de magnétisme pour que l'on pût reconnaître leurs poles , propriété que n'a pas le fer, qui ne conserve, ni la polarité, ni le magnétisme dans toute autre situation que la verticale, et dans lequel cette propriété est si fugace, qu'il suffit de retourner une barre de fer pour changer ses poles , et de la poser horizontalement, pour qu'elle perde toute polarité et tout magnétisme.
On peut, je pense, conclure des expériences qu'il sera facile de discerner une barre décrire, de fer d'une barre d'acier, la présentant à une aiguille aimantée. Si la barre mise en expérience acquiert surle-champ la polarité en la plaçant verticalement, ce qui se voit par les attractions et les répulsions que l'on observe dans cette expérienque je viens de
ce , et si elle la perd aussitôt qu'on la tient Aa Volume 13.