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IDES-TITI', SPÉCIFIQUE DU CORINDON
CARACTÈRES CHIMIQUES.
télésie viennent Analyse. Le corindon et laavec tout le soin nouveau d'être analysés dedes plus habiles chimistes de possible , par un Londres , M. Chen.evix. Ce savant les a troucomposés des mêmes prinvés, l'un et l'autre, dans des proportions sensicipes constituans , principe domiblement égales ; l'alumine est le moins sur ioo ; nant ; il s'en trouve 90 parties au le rapport de 5 à 6 la silice yest associée dans un peu de fer oxyparties sur 1 oo. Le reste est dé. Voyez le tableau ci-joiiit. TÉLÉSIE.
coRINDolv. Cantate. Malabar. Chine. _Asa. 5,0.
.
.
Alumine. 91,0 1,5.
Perte.. .
u,5.
.
aoo,o.
.
7,0. 8É,5.
.
4,0.
.
2,5. 100,0.
.
5,e5. 86,9o. 6,5o. 1,75.
6,5 87,0 4,5 2,0
13 'ne.
11 ouge.
Saphir. 5,25
Rubis oriental.
90,0 1,0
90,0
1.75
1,3
200,00
100,0
.
.
. 100,00. . 100,0
_
7,0 1,2
des résultats On peut juger, par ce tableau Chenevix , jusqu'à
par M. de l'analyse, obtenus minéralogie et la chimie se trouquel :point la mettre les naturalistes en vent d'accord, poùi. Sur l'identité- du corindon et état de prononcer" les rapprochemens de la télésie , quk d'après rendu compte , pourraient dont nous avons même espèce (1), n'être que des variétés d'une de ne donner qu'un seul à laquelle il conviendra physiques , n'a (s) L'auteur , en traitant des caractères qui existe dans le corill, ras parlé de la double réfraction
ET DE LA TÉLLSIE. 1.9 nom spécifique. L'auteur du Mémoire a donné la préférence à celui que porte, dans son pays
natal, la substance la plus répandue,
le vo-, rindon , dans lequel il reconnaît deux modifications ; l'une, à laquelle appartiendra la télésie, est pour lui le corindon pailait ; l'autre est ce appelle le corindon inzparjait , qui renferme celui dé Chine, du Bengale, de la côte de Malabar, du royaume d'Ava , etc. Quel que soit le degré de probabilité ou de certitude qu'il convient d'assigner à l'opinion d'Un minéralogiste aussi distingué que l'est M. de Bournon, si l'on en juge d'après les ou-. .vrap,es qu'il a publiés, plusieurs Mémoires imprimés , tant dans le JOZIPIZal de Physique, que -dans les Actes de plusieurs sociétés Savantes, beaucoup de personnes pourront éprOuver encore de la répugnance à ranger, sous la même espèce , des variétés qui mettraient une substance en contraste avec elle-même d'une manière singrtlièrement étrange. Nous remarquerons , à ce sujet, que le corindon n'est la seule substance parmi les minéraux qui,pas suivant les différens degrés de perfection dans la cristallisation, ait présenté des différences aussi marquées dans ses variétés. Le feld-spath et la chaux phosphatée , en offrent des exemples frappans. don, et que l'on n'a point encore trouvée dans la télésie. Si l'on vient à découvrir que ces deux substances sont d'accord sur ce point, comme sur le reste , il ne restera plus alors de doute sur leur identité , comme il n'en existe plus sur celle de l'émeraude et du béril,
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