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Ivrimernr,
Comme ,ce puits n'était point comblé, et qu'if paraissait n'y avoir que peu d'eau , j'en, entrepris l'épuisernent,daus la vue de reconnaître la
couche dans sa profondeur, et de voir si je
poirliis tenir :cet offlyrage à sec. L'épt isement des eaux,:qui se lit-ayeo des seaux, parut d'abord in possible, pareeque l a nu dette empêchait !d'ôter le _vieux boisage qui, éboulé, obstruait le puits,,t. ,4- ue ces bois arrêtaient lès,sceaux , et de puis nous empêChaitde boiser mais lorsj'eus Tait prendre au Jour tplusieurs seaux d'eau ,,et,..que je les eus fartieter dans le pi-lits, la Mofette s'éleva peu à Peu :répandit .d'abord un.e odeund.ésa gréable , mais bientôt nous permit 'de 'faire: les traVani nécessaires- dans le
L'odeur y était cependant :encore
si,
forte' ' ,que les mineurs ne pouvaient y rester
qu'une demi-heure au plus.. Après que tout eut été réparé, an épuisa les eaux en une journée et la mofette dispaent entièrement. A l'égara des eaux,elles pouvaient être épuisées com-
modément avec une pompe à bras d'homme, ce qui Me surprit d'autant Plus , que je m'étais . figuré .que. lesaux du fond devaient être abon-*
Jantes, la rivière d'Elster coulant à 3o métres de Ce puitS,' 'près l'entrée de la galerie , ses eaux _porivaient s'infiltrer dans nos travaux à
travers 'les. schistes. Les, obServations que je fis dans ces travaux se réduisent,' aUXsuivantes : i°. La couche était
dans ce potrit très-diVisée et cela d'une-Manière telle "qu'une partie s'approchait du toit et l'autre du mur. On avait fait , sur la veine du toit:, Une Poursuite de quelques mètres mais cainnie elle s'y terminait en forme de coin,
SUR L'ANTHRAOFTE.
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on l'avait laissée pour reconnaître l veine du. mur. 20. :Le puits avait Io mètres de proforideur et comme on y avait exploité les deux veines il avait plus de 4 'mètres de largeur. Dans la profondeur la puissant de la veine du toit di, minue , et je pense que, plus bas, elle disparaît entièrement. La -veine du mur s'élargit au contraire, et a mètre d'épaisseur.
Quoiqu'il ne me restât plus aucun espoir
sur le succès de mon entreprise , néanmoins la centinuation des, :travaux sur cette substance incombustible , encore inconnue , me parut
pourtant nécessaire pour acquérir une connaissance exacte deson gisement. Dans cette
vile je fis continuer,le ;déblaiement -de la galerie sur la veine du mur, ce qui se fit avec d'autant moins de difficulté, qu'il n'y avait que de petits éboulemens de distance en distance. Du
pied.du puits., dans une longueur ,1e55 mètres: à l'est, on arriva .à. l'extrémité de la gale4e.. Dans cette longueur, la couche avait
éprouvé plusieurstrangleuiens au point même que dans de très-courts espaces, son épaisseur d'un mètre se réduisait .à celle de
quelques centimètres. Les couches de ce fossile, erudivers-endroits, alternaient avec du quartz qui faisait varier la .
niasse d'une manière agréable (1).. Qu and la couche n'avait quequelques centimètres d'épaisseur, La même particularité, sp remarque dans plusieurs .gits
de l'anthracite de l'Oisans où la masse est: qbetquefois coupée par des filons de qua-rtz blanc qui contras tera.vivement la couleur de la masse.- c Ilea des Cbalanches et de eavec