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LETTRE DE M. mossinn , etc.
lave pour vous servir de second ol jet de corn, paraison. Cela me 'porte à vous hserver qu'il est assez Ordinaire que les .produits volcaniques corser'vent des traces de leur ancienne et primitive origine. Je suis porté à croire ( et je vous ai déjà fait connaître mon avis à ce sujet) ne le basalte. d'Auvergne a existé avant l'act on des feux souterrains ; qu'il avait à-peu-près les apparences' extérieures que nous lui vo-yons , et (1i 'il ne saarait être un produit des roches composées de pal tics hétérogènes (tels que les graidtes), dont, les parties intégrantes auraient fondues , et maniées par les agens volcaniques , de manière à' ne former .qu'une masse homogène. J'applique donc au basalte homogène de couleur noirâtre , enn grain terreux , d'an poli» gras , tônt ce que je viens de dire du porphyre qu'on voit à la montagne de Sanadoire. J'en, dis autant de tontes les laves compactes piisma-, tiques , ou en masses informes , auxquelles en, a donné le nom de basabies , de ces laves qui sortirent des antres enflammées en conservant quelques-uns des caractères de leur première origine , et dont les analogues se trouvent dans le voisinage des anciens foyers , ou qui restèrent intactes art milieu même de l'incendie., J'avouerai cependant qu'il existe en Auvergne des laves dont je n'ai pas rencontré les analogues dans leur état primordial.
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NOTE. Sun la Mesure de longueur employée dans les mines de Freyberg. Par M. DA13.3311ISSON.
DA N S presque toutes les mines de l'Allemagne, on se sert d'une toise ou messire appelée lacis-
Valeur du
ter , dont la longueur varie , peu à la vérité d'un lieu alin autre. La Métrol.sie de M. Biornerod ( Traité de Géographie méth. phys. et .politique, terne IX, page 351 ), donne pour le
la,ht, de
en mètres. 1,9831,2ètreg.
de Freyberg
u de ClastA ( Hartz)..
Lachter
-
Freyberg
.
.
.
1.,i9)284.3
1
{ a'Elsleben ( Thuringe ). . 2,010 èe). de Juachiuuthil (Bonm .
.â dei.nwise
2,012
L'on- ne peut dire avec précision quelle est la 'véritable longueur du lachter de Freyberg , éva,, lude en mesures fr,nçaises. Cette longueur paraît méme avoir var ,é à différentes époques. Un ancien lachter déposé au Conseil des Mines de Freyberg, comparé avec soin, en 1772, par M. Sdleidbaiter, , directeur des mines , avec un
pied du Rhin , s'est trouvé = 6,2576 pieds du Rhin. Le pied de France élant à celui du Rhin o,966o82 (1), on aura : Le lachter - 1.P. or. op. 6,51. Le même lachter, mesuré par M. Lempé , pro-
1,9638
fesseur de mathématiques à Freyberg , avec un pied du Rhin , s'est trouvé =- 6,27982 5 CC qui revient à 1 T. OP. O'P. 9,61 Ou.
.
..
.
.
1,9707
Le même professeur l'ayant 'comparé avec le pied dont se servent ac'liellement les ingénieurs Militaires de Saxe, pour la levée de la carte de (I) Ce rapport- est celui assigné par M. Wanswinnen ; minous a été communiqué par M. Coquebert de Montbret. K.-
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