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PROC1DJS EMPLOYiS E1 ANGLE'rEËlar
pour double but principal d'enlever au métald le carbone et l'oxygène qui lui sont unis, quan on veut exécuter ces deux effets en une seule
opération , comme on le fait dans nos feux d'affinerie , il doit arriver nécessairement P. qu'en mettant le métal en contact avec des charbons ardens , qui tendent .à lui enlever l'oxygène , on facilite en même - teins l'union du carbone et du fer, qui ont 5a une
haute température beaucoup d'affinité l'un pour l'autre , et on augmente ainsi la proportion d'un principe que l'on veut détruire. 2°. Qu'en exposant le métal à l'action du vent qui tend à brûler le carbone qu'il renferme, on favorise ainsi l'oxydation du métal lui - même : ainsi
chacun des deux ag,ens principaux a , indépendamment de l'effet pour lecpkel on l'emploie , une tendance et une action entièrement contraire à l'action de l'autre , et au but général de l'opération. II résulte de cette espèce de lutte, que le travail est beaucoup retardé, et enfin que l'action de l'oxygène l'emportant sur celle du carbone, le fer se trouve purifié de ce dernier principe , mais aussi qu'une quantité considérable de ce métal reste oxydé, s'unit aux substances terreuses et forme avec elles des scories dont on ne tire aucun parti, et qui contiennent pourtant 4o à 50 pour ioo de parties métalliques.
La division du travail en deux opérations, partie à ces deux inconvéniens , et préviendrait entièrement leur existence s'il était pos-
dont chacune a un objet distinct , pare en -
etc. 291 nible de parvenir à brûler tout le carbone dans POUR LE 'TRAITEMENT DU FEE.
la première, pour ne plus avoir qu'à désoxyder la fonte dans la seconde. Elle tend à ce but, et si elle n'a pas encore pu l'atteindre complètement, du moins apporte-t-elle tou-
jours beaucoup d'améliorations dans les résultats ; car n même - teins qu'elle diminue la
perte que l'on éprouve, on peut même dire qu'elle abrège le travail en l'allongeant, puisqu'elle met dans le cas de fabriquer dans un teins donné , une quantité de fer beaucoup plus grande qu'il ne serait possible de le faire,
toutes choses égales d'ailleurs avec les méthodes d'affinage employées généralement. Je ne reviendrai point maintenant sur les détails qui ont été donnés à ce sujet dans le cours du Mémoire. Je n'ai voulu ici que considérer les
procédés par rapport au perfectionnement que produit la division des opérations en diminuant, les déclic ts occasionnés par l'ensembledu travail. Sans revenir non plus sur les opérations dé-
crites pour examiner ce que chacune
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doit coûter au propriétaire d'usines qui les met duits.
en pratique, je donnerai, je Crois, und idée suffisante du plus ou moins de dépense ,que peut occasionner la fabrication du fer par le_ moyen de la houille , par la seule-indication des prix auxquels sont vendus en Angleterre les produits de cette fabrication. Ces prix sont ceux qui avaient cours au commencement de l'année 1803 pour les produits des forges du (s;latizorgrzu.
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d'elles ieurclesPra'
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Le pzg-iron valait alors 5 livres sterlings la tonne, ou environ. 6o francs le millier.