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PROCÉDÉS EMPLOYÉS EN, ANGLETERRE
de bois , bn trouvera.en.core de l'avantage dans tous les pays houillers à faire usage de la houille,
en considérant seulement la dépense qu'occasionne l'achat des combustibles. D'ailleurs , on doit croire qu'en s'attachant à. étudier dans toutes ses parties cette suite d'opérations, qui sont encore presque neuves même en Angleterre , et par conséquent suscept;1es de beaucOup d'amélioration, on parviendrai-1; à les perfectionner, et principalement le fait à épargner c;',:tvantage la houille qu'on nenulle, dans un pays ci: sa valeur est presque laquelle elle -y est eu égard à la praiicion avec facilité que présente
répandue, et à l'extrine
son exploitation. bien plus Enfin l'avantage deviendra encore Suries a. 1a valeur des considère avec ch'ss"bis sensiblesi l'on n déchets que subit parla fote. combustibles employés, les la 'fonte jusqu'à sa conversion en fer forgé dans les-denx genres de procédés. On verra, en repi.erant ce qui a été dit plus haut , que leladéchet total est de très-peu plus du quart dedansfonte DOS obtenue du haut fourneau, tandis que seulesiforges d'affinerie , les fontes provenant
que de minerais de nature semblable à celuiordij'ai vu employer en Angleterre, donnent de nairement un déchet du tiers, et souvent converties en fer forgé_ plus du tiers, pouriêtresensible, et qui devient Une différence aussi encore plus frappante , si l'on considère que contiennent les fontes obtenues avec du coaks, étrangère au fer, en général plus de substances et 'principalement de parties charbonneuses, que celles qui résultent du traitement au char'-
POUR LE TRAITEMENT DU FER, etc.
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bon de bois, doit nécessairement provenir de la différence des procédés ; et il est peut-être permis de comparer ce qui se passe dans ce travail avec ce qui a lieu dans beaucoup d'autres genres de fabrication particulièrement dans les arts mécaniques, et de faire ici une application de
ce principe : qu'en général, diviser le travail,
c'est l'abréger, et multiplier les opérations,. c'est perjéctionner ; principe dont dans un. grand nombre de circonstances, la théorie et la pratique démontrent également l'exactitude.
En effet, et sans prétendre pousser trop loin cette comparaison, qui pourrait alors devenir défectueuse, si dans les arts mécaniques on per-
fectionne en multipliant les opérations, parce qu'alors un ouvrier ayant moins de choses à faire , parvient à faire mieux, plus uniformeMent et plus vite le travail dont il est uniquement chargé, on peut penser que dans les arts chimiques et métallurgiques, des changemeus
ploie. semblables ameneront de semblables résultats parce que chaque opération ayant un but unique, on pourra beaucoup phis facilement faire concourir à ce but tous les agens que l'on em,
de la manière la plus prompte, la plus
économique et la meilleure, que clans le cas où. l'on se propose de produire à la fois plusieurs effets, et oà les agens nécessaires pour chacun
d'eux ont des actions entièrement distinctes et qui peuvent même quelquefois devenir contraires l'une à l'autre, entraver la marche de l'opération , et diminuer ou Vicier les résultats.
Ainsi, dans l'affinage de la fonte, où l'on a