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SUR UN PROCEDE PARTICULIER
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etc.
considérable. Au reste, l'une et l'autre doivent, d'après ma manière de voir , être regardées comme un perfectionnement apporté à l'opération de l'affinage, et il est probable qu'on trou-\ verait de l'avantage à les mettre en pratique dans les usines où l'on obtient des fontes trèscarbonées.
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SUR LA PROPAGATION DU SON. Par M. HASSENFRATZe
S expériences dont nous allons rendre compte, ont été faites dans des carrières situées an-dessous de Paris ; comme elles peuvent faci= lement être répétées dans l'intérieur des mines, et qu'il est possible qu'elles soient de nature à conduire à des résultats qui pourraient devenir, dans certaines eirconstances,utiles à l'art même' de l'exploitation des mines, nous avons pensé
que nos lectenrs nous sauraient gré de leur faire connaître le Rapport suivant, que deux ,savans illustres ont fait à l'Institut national, sur les expériences dont nous voulons parler. Rapportfait à la Classe des Seiences mathématiques etphysiques de Institutnational, le 13 brumaire an 13, sur un Mémoire de M. Hassenfratz , relatif à la propagation du son (1). cc La Classe des Sciences mathématiques et
physiques de l'Institut, nous ayant chargés,
M. de Laplace et moi, d'examiner un Mémoire de M. Hassenfi-atz , sur la propagation du son, nous allons lui en rendre compte. » Les physiciens ont reconnu, depuis longterns , que l'air n'est pas le seul milieu qui soit
susceptible de transmettre les sons. On avait remarqué qu'un timbre mis en vibration dans un récipient purgé d'air, se fait entendre d'une manière très - sensible , lorsque son support
(i) La Commission était composée de MM. Laplace et