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COMME FREIN.
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EMPLOI REG ULIE R DE LA CONTRE-VA PEUR
inconvénients Nous verrons plus loin que, pour parer aux à introduire d'une rupture d'attelage, nous serons conduits additionnelle dévetrois freins automoteurs; la résistance
.Soit
T le poids d'un train en tonnes, V la vitesse à un moment donné, V' la vitesse au bout d'un parcours x, R, la résistance moyenne par tonne des wagons entre les vitesses V et V', J la résistance de la machine due, à l'emploi de la contrevapeur,
I l'excès de résistance par tonne de la machine considérée comme véhicule sur la résistance R des wagons (soit environ i o kilogr.), P le poids de la machine en tonnes (soit 3o1,5), L'équation du travail donnera
112V'2 1000 T
prrx =
2g
--1- PI)x
d'où. 1 000 1.
x
2g
J + PI T(p 111)
ou
(J -4- PI)x
T-
yP
000
V,4
2g
(p R)x
269. Admettons
que le train doive s'arrêter au bout de 5oo mètres, nous aurons
\=
=500 et R
V2
4 kilog.
1 000 =3540.. 2g
En faisant les substitutions on trouve T = 25.2,950. C'est le maximum du poids que peut atteindre un train de voyageurs comprenant 0 voitures et 4 fourgons de bagages.
la résistance loppée par ces freins permettra de diminuer de changement prise sur la machine, et de placer le levier de marche à un cran moins avancé. l'entretien Influence de l'emploi de la contre-vapeur sur courbes. Cherdu matériel. Conditions de stabilité dans les peut avoir chons à nous rendre compte de l'influence que travail résistant qu'elle sur l'entretien de la machine le la transforme en chaleur ; cherchons aussi les efforts que les conditions de voie et les bandages supportent ; et enfin dont la tête prétrouve un train stabilité dans lesquelles se sente une aussi grande résistance. machine. Influence sur les pièces du mouvement de la marche renversée est Une machine en descendant avec la exactement soumise dans toutes ses parties à des efforts directe supporte dans la marche comparables à ceux qu'elle La vitesse doit ètre en remorquant un train sur une rampe. d'autant plus faible que ces efforts sont plus grands. la vitesse Lorsqu'une machine, poussée par un train dont descend avec le régulaest réglée par des freins ordinaires,
teur fermé et le levier au dernier cran de la marche en
'Supposons le train animé d'une vitesse de 3o kilomètres à l'heure sur une pente de 15 millimètres. Renversons la marche au dixième cran : nous aurons
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exagérée, comme avant, elle prend fréquemment une vitesse de ce rapport; les nous l'avons expliqué au commencement
machines à 8 roues sont alors soumises à un mouvement dans de tangage très-prononcé qui produit des dislocations graissage fréquent le mécanisme ; les cylindres exigent un garnitures s'usent et les mécaniciens remarquent que les de l'entrès-vite. On peut se demander si au point de vue de descendre tretien de la machine, il n'est pas préférable cylindres étant vitesse régulière, les une pente avec une les pistons constamment remplis de vapeur humide, et ordiégales à celles de la marche soumis à des pressions mainnaire, que de descendre avec des vitesses rarement