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DES CHRONOMÈTRES.
EXPÉRIENCES SUR LES RESSORTS
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((Lx' 2
x
).
(lx
p'
0n
2
Mais on a, dx S logpo(n
logp
log (1 +
expression qui ne renferme naturellement que des logarithmes népériens. 11 vient par suite (g)
T=
2
[ax"',
1)2
2
n logp
-t-
10 r,
1+
(i
Si l'on suppose R = o,o4, que l'on substitue successivement, dans cette expression, les valeurs de a, b, m, n, p, comprises dans les formules (y), et que l'on donne à x sa plus grande valeur fournie par nos tableaux d'expériences,
en laimant de côté la première expérience ou les deux premières lorsqu'il y a incertitude, on trouve
pour / = 3,00 X = 26, 2,25 1,5o
0,75
T = gk"',1
3o,
9
,O
27, 15,
7
,5 ,4
5
sort, le tracé se confond très-sensiblement avec une droite. Mais ces expériences sont insuffisantes, en ce qui est relatif
aux premières valeurs de x, pour que l'on puisse en déduire l'expression de la fonction complémentaire U, qui, d'après le tracé graphique, paraît compatible avec la forme que nous lui avons assignée à la suite de nos expériences. Dans ce qui suit, nous ne reproduirons pas les résultats
immédiats obtenus par M. Rozé, mais les ordonnées du tracé moyen, en leur substituant des ordonnées intermédiaires lorsque le nombre de tours ne commence pas à partir du point où l'énergie du ressort est nulle. Nous désignerons par y y, les intensités de la force tangente au barillet, dont le moment équivaut à celui que donne le ressort, fournies respectivement par le tracé graphique et la formule d'interpolation, en appelant y' y', les valeurs correspondantes, estimées en millimètres, d'après une échelle déterminée, pour chaque série. Nous conserverons les notations précédentes, en appelant de plus h la largeur de la lame, R continuant à désigner le rayon du
barillet, et 411 représentant à peu près le diamètre de la platine. Nous aurons
= 10-
Série A (**).
/ = 12,o22 (71
0,0126
ressort, décroît avec sa longueur, et même très-rapide-
de M. Rozé, qu'on leur substitue un moyen tracé de maMère à en faire disparaître les inégalités, on reconnaît qu'au delà des deux premiers tours de remontage, et jusqu'à deux tours, environ, avant l'armement complet du res-
= 13,8
o, 037
On voit ainsi que le travail, que peut emmagasiner un même ment, lorsque cette longueur reste au-dessous d'une certaine limite. Discussion des expériences de H. Rozé. -- Si l'on considère les courbes résultant des expériences, citées plus haut
e3h
o,000Ll
o,0038
y, -=
2,9
d'où Tro
Lio5
Y%
40
(*) En admettant, sous toute réserve, que le coefficient d'élasticité de l'acier est égal à 2,1010. Cl Montre de 15 jours de M. Gontard. TOME XII, 1867.
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