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PRÉPATIATION MÉCANIQUE
pv eOBERBItyRZ.
Le trommel sec- verse les, grenailles trop grosses dans. les augets d'une roue élévatrice qui les remonte' .an niveau, de la trémie de chargement des cylindres. Les roues: éleva-,
trices sont presque toutes identiques à celle que décrit. M. Ifivot : elles sont portées par des bras placés latéralement et soutenues par une corde passant sur unepoulie :
et 7). La grille occupe toute la longueur de la Binterwand, c'est-à-dire du long côté de derrière (de derrière par rapport au point de chargement)' : cette grille est en fil de laiton à mailles carrées comme les anciennes. Son bord inférieur n'affleure jamaislasole.: reste toujours au-dessous de la grille. un certain: intervalle plein ab, dont la hauteur
cette corde fait disparaître le porte-à-faux, et sert en même temps à: mettre la roue en mouvement: Dans- le sixième, bocard de Clausthal, on rencontra une, disposition différente; la roue élévatrice est sans axe (Pl. XVII, fig. i et 2).
fin. -Il est clair, en effet, que, toutes: choses, égales, leurs, les matières: seront, broyées: d'autant :plus leur faudra, pour atteindre la grille et sortir de l'auge, s'éi-
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C'est un anneau vertical reposant sur deux galets à axes horizontaux (G, G), et guidé à sa partie supérieure par deux galets- à axes verticaux (H) . L'un des galets G reçoit' un mouvement de rotation du moteur des cylindres au moyen d'un système de roues dentées, et entraîne dans son mouvement- la. roue élévatrice Bocards.
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(Spurholie).est :c1; autant plus grande qu'on,veut broyer plus
lever sous, Faction du courant d'eau d'une plus, grande quantiteau-dessus de la sole. Cette nouvelle disposition ,constitue le boearelage, parla
hinterwand (Pochen dura dit Ihnterwane. Elle: est: plus. avantageuse quellancienne, en ce qu'elle: permet-une pro,. duction beaucoup plus forte parfflèche, 'derme un broyage plus uniforme et produit moins, de. schlamme: D' autre part, elle dépense, plus cteau et les: sables et
schlamms, sont entraînés par- suite beaucoup plus, loin La plupart des batteries. dé bocards n'ont subi aucune modification et sont encore absolument conformes à l'ancien type ; mais une disposition nouvelle a été adoptée. dans deux des ateliers récemment réorganisés, letroisième et le quatrième de Zellerfeld. Voici en quoi elle consiste': Dans les anciens bocards, le bocarclage moyen et le hocardage fin se font avec une sole inclinée, et la grillé est
placée sur l'un des petits côtés de l'auge, son bord iderérieur ot'affleurant la sole (Pl. XVII, fig. 5), ou bien sur la paroi de l'auge entre lui et la sole une certaine laissant hauteur «fi (firf. 5) qu'on appelle Spur. C'est ce qu'on appelle bocarder par le petit côté avec ou sans spur (durch die hurze Witnd pochen). Dans les nouvelles batteries dés troisième et quatrième ateliers de Zellerfelcl, là sole est horizontale pour le bocardage moyen et le bocardage fin, absolument comme pour le bocardage gros (PI, XVII, fig.
avant de; se déposer. (Ce dernier inconvénient ne se pré'sente pas dans- les bocards -de Zellerfelft, caria' séparation des. sables: et desschlarnms, ne e y fait, pas pan drépôt dans des _canaux', mais. d'une 'tout .autre manière qui; sera décrite en son lieu.)' Dans le troisième hocard de .Zellerfold dispositiOir des flèches .offre elle-même quelque, chose de particulier .D.elles
sont réunies 4 par 4 dans chaqueaugeet se soulèvént ternativement 2 par 2, la. première' et, la., troisieme ensemble, puis la deuxième ett la. quatrième. Dans lé quatrième bocard de Zellerfeld, les flèohes.sontréunies 5par 5'
dans la même auge et se soulèvent l'une après; l'autre, comme dans les anciennes batteries: