Annales des Mines (1868, série 6, volume 13) [Image 217]

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LÉGENDE DES PLANCDES.

s. Cheminée pour la chaudière à vapeur et les foyers des chaudrons en fonte.

Fig. 2. Coupe verticale indiquant la disposition des chambres où se déposent les oxydes entraînés par la vapeur d'eau.

Fig. 3. Coupe verticale, à une échelle plus grande,. des chaudières à zinguer le plomb d'Muvre (a) et à dézinguer le plomb pauvre (d).

e. Dôme en tôle portant le tuyau à. vapeur d'eau: et: le conduit qui amène les gaz et les poussières dans les chambres de dépôt. Boîte en tôle percée do trous pour recevoir le. zinc,. Agitateur. 3, Arbre qui porte la boîte à zinc. Pignons dentés pour donner le mouvement'k l'arbre (3). Manivelle à l'aide do laquelle on imprime le mouvement à. l'arbre (3). Tout le système qui porte la boite à zinc est placé sur un petit chariot roulant sur rails.

Fig. 4 à 7. Appareil Boudelien pour le pattinsonage mécanique. Fig. 5. Plan des chaudières. Fig. 4. Coupe verticale des chaudières. .2. Chaudière où se fait la cristallisation. b. Lingotières où l'on reçoit la plomb enrichi sortant de la chaudière (a) par les tubulures m, m.. c. Chaudière supérieure où l'on fond le plomb en saumons. La flamme perdue de cette chaudière est dirigée sous la chaudière (a) au moment

où on y fait couler le plomb chaud qui doit refondre les cristaux pauvres.

s. Cheminée. d. Seconde chaudière supérieure, dont on ne se,sert pas habituellement, et qui n'existe pas dans les ateliers de Rouen et de, Holzappel. OH n'a recours à cette chaudière qu'A.Borigine,de chaque nouvelle série d'appauvrissements. On y refond les plombs cristallisés pauvre, qui doivent être moulés en saunions pour le commerce. On fait couler le plomb dans les lingotières (e, e). Après cola, ou fond dans la même chaudière les 2/3 du plomb d'ceuvre qui doit être appauvri dans une nouvelle série. L'autre tiers est fondu en même temps clans la chaudière (c). Le plomb de la chaudière (d) se rend alors,.par le conduit mobile (f), et au travers do la chaudière (c), dans l'appareil à cristalliser (a). Avec cette disposition, il suffit que in chaudière (c) mesure le tiers, et la chaudière (d) les 213, de la chaudière inférieure (a), tandis qu'avec la disposition, adoptée à Rouen et à Holzappel, il faut que la chaudière supérieure unique (c) ait une contenance égale à celle de la chaudière inferieut o (a).

Fig.. 6. Coupe verticale de la chaudière (a) et de l'agitateurbuivant la ligne X.Y du plan (fig. 5).

LÉGENDE DES PLANCHES.

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Fig. 7. Coupe verticale, du même appareil, à angle droit do la précédente. Chaudière inférieure. m, m. Tubulures de coulée. Lingotières qui reçoivent le plomb riche liquide à la fin do chaque cristallisation. La saillie centrale de la lingotière laisse dans la masse de plomb un orifice central qui facilite son transport, à l'aide d'une grue, dans les chaudières supérieures c ou d. f, f. Couvercle en tôle quo l'on abaisse lorsque l'appareil fonctionne. Deux conduits (g, g) servent d'issue aux vapeurs et poussières plombe uses.

h, h. Une petite rigole (h, h) reçoit de l'eau qui coule en filet mince sur le plomb que l'on fait cristalliser. L'Agitateur se compose de deux pièces t's Un arbre creux en fonte (i, i) qui porte un cadre en fer (k, k) muni. de couteaux, servant à détacher les croûtes de plomb qui tendent à se figer contre les parois de la chaudière. 2. Un arbre intérieur en fer (1,1) qui porte des palettes horizontales en fonte à divers niveaux. Les deux arbres loti tournent on SOM inverse, gràce à l'arbre horizontal (p, p) et. grâce aux forts gnons coniques (g, g). On peut d'ailleurs à volonté débrayer l'arbre intérieur et le rendre libre, ce qui est indispensable au moment où l'appareil est mis en jeu. On ne fait tourner l'arbre et les palettes intérieures; encens inverse de l'arbre extérieur, ,que quand les cristaux anciens sont refondus ou, du moins, entièrement désagrégés. r. Représente la tubulure de la chaudière supérieure c, et (y, o) les colonnes en fonte, qui supportent la plaque (w; w) sur laquelle sont établis les paliers de l'arbre p. La machine motrice communique avec l'arbre p soit par courroies et poulies, soit par roues dentées.