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CONDENSATION DANS LES MACHINES A VAPEUR.
et cela, à cause de la grande conductibilité des corps métalliques (ce fait n'a plus lieu lorsqu'il s'agit de corps, mauvais conducteur), c'est-à-dire que dans le premier cas,
la quantité est exprimée, pour l'unité de surface et de a temps, par b, et dans le second cas par k '(a b). Et, s'il s'agit du cuivre, k' est 19,11 d'après Péclet, et = 1,6o d'après les expériences de MM. Thomas et Laurens (*). Recherche de ce maximum. La différence entre les coefficients k et k' permet d'expliquer par le calcul le fait d'expérience que nous venons de citer, et cette explication sera naturellement la confirmation du fait. La quantité de chaleur transmise par une plaque, dans l'unité de temps et par unité de superfiçie est, Dans le cas du métal décapé, mais à surfaces non frottées pendant l'absorption, Q k (a b), Dans le cas d'incrustation sur la face seule qui reçoit la chaleur
=
h'y ye
(ab);
kx
(a
k'yx (a dx71--h yze 7
k= 1,6o
k' = 19,11
et
Généralement a. est plus grand que chacune des trois autres quantités, et l'on a k'y
k (a
b)
k,.,1±
11:((cal
bb))
kk
b) > o,
(a
- r++'
n)f>e'
0,
. (a
(19) b)
Mais il se peut que pour certaines valeurs de e, -/ ces inégalités changent de signe ; et ce changement serait la confirmation du fait énoncé. Or si ces inégalités changent de signe, c'est qu'elles passent
par la valeur o, et réciproquement, si elles passent par la valeur o, c'est qu'elles changent de signe.
k=
=
b).
(*) A proprement parler, K est alors le coefficient, non pas de la plaque métallique même, mais d'un système de trois plaques juxtaposées, une en métal et les deux autres formées d'eau d'une épaisseur très-petite. Cette remarque me donnera le moyen de déterminer, plus loin, le coefficient de conductibilité extérieure de l'eau (pénétrabilité pour la chaleur), élément dont on peut avoir besoin.
et l'on a pour le cuivre
b);
Dans le cas d'incrustation sur les deux faces
=7
165
Donc si l'on pose les équations
Dans le cas d'incrustation sur la face seule qui émet la chaleur
=+
CONDENSATION DANS LES MACHINES A VAPEUR.
k
k'y
pour le 2e cas ci-dessus,
ye 'r»k
k'yz + k'z-fi
yze
4e
on doit pouvoir, si le. fait énoncé existe, en tirer une valeur de -fi et E plus grande que o. i° De la seconde de ces équations on tire e = o; donc, le fait dont il s'agit n'a pas lieu dans le cas d'incrustation de la face seule qui émet la chaleur; et ce résultat s'accorde bien avec l'explication physique proposée par Péclet ; car, dans le cas considéré, l'incrustation n'existant point sur la paroi
qui reçoit la chaleur, la superficie d'absorption n'est pas